Pourquoi ce journal intime ?

Un besoin d'écrire tout simplement ? Aligner les mots et maux comme une thérapie ?
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie


jeudi 28 février 2013

Clip Frère De Coeur - RESET Nouveauté Rap Français 2013

                                      

Pourtant je n'étais pas adepte du Rap, mais il faut reconnaître que certaines chansons de rappeurs Français, me donnent des frissons à travers les paroles...
Dans un prochain post je vous dirais pourquoi j'écoute maintenant du rap de temps en temps...

Celle-ci me rappelle toutes les déceptions de ces ami(e)s qui se disaient sincères, mais un beau jour on se réveille et l'on se rend compte que lorsque l'on a plus besoin de nous, on nous jette comme un simple kleenex, plus de nouvelles et le silence s'installe peu à peu et c'est... la dégringolade, l'incompréhension !!!

Pour moi l'Amitié à une importance essentielle dans ma vie...pouvoir se confier sans être jugée, écouter, entendre mon Amie, ma soeur est un réel bonheur.
Depuis un peu plus de 2 ans j'ai vraiment découvert ce qu'était réellement ce sentiment et je suis fière de t'avoir à mes côtés de nouveau.
Merci ma puce.

Bonne écoute

A découvrir !!!


                                                   

Merci Manu pour cette découverte, ces musiciens Belges, du bon rock !!!
A écouter sans modération !!!!

et une autre pour le plaisir....







Que faire ???






           Photo                                          

En ce qui me concerne j'en suis exactement là, en face d'un vide (ou un mur) avec ce grand manque de confiance en moi.

Il y a même des jours ou je me retrouve complètement à gauche,  à l'extrémité, avancer d'un pas et reculer de deux !!


                                                                                


mercredi 20 février 2013

Peut on parler d'Amour....




lorsque nous vivons dans la crainte d’être quitté, abandonné ou séparé de l’être aimé ? Peut-on parler d’amour lorsqu’on veut à tout prix à tout être choyé, cajolé, aimé, valorisé comme un petit enfant ? Peut-on parler d’amour lorsque l’on souhaite changer l’autre comme si l’être idéal existait ? Peut-on parler d’amour lorsque cet amour blesse notre corps, notre cœur, notre âme ? Peut-on parler d’amour lorsque celui-ci est maltraitance, violence, agression, rejet, domination, soumission, humiliation, chantage, dévalorisation, possession, résignation ? Malgré nos bonnes intentions, nous sommes tous confrontés à cette difficulté à aimer dans la sérénité, dans la joie, dans la liberté, détachés et reliés au monde qui nous entoure. Qui peut dire que l’amour ne compte pas ; celui-là même, qui occupe toutes nos pensées et qui est la source de toutes nos actions ? Après quoi on court si ce n’est le temps de l’amour ? Certains comptent sur leurs deniers comme si l’argent pouvait venir compenser ou acheter cet or si rare et si précieux et pourtant immatériel. Comment se fait-il qu’il soit donc si difficile de vivre l’amour heureux ?

On aime comme on a été aimé


Nous n’avons bien souvent pas conscience à quel point notre héritage familial et culturel conditionne nos relations les uns aux autres. Ces blessures de non-reconnaissance, de trahison, d’abandon, de séparation, de dévalorisation…Ces injustices transmises de génération en génération, depuis la nuit des temps, induisent bien plus le conflit et la guerre que la chaleur et la confiance entre les êtres humains. Inconsciemment, à travers nos comportements, nos gestes, nos mots, nos actions, nous nous transmettons les uns aux autres, toutes ces douleurs ou ce mal d’amour. Certaines familles se construisent parfois de telles défenses ou cuirasses qu’elles s’empêchent inévitablement de ressentir l’amour, se sentant protégées contre ce qui pourrait faire mal et l’on répète en boucle les mêmes scénarios de vie, de grands-parents, parents à enfants. Ces blessures, ce manque de confiance toujours à vif, nous freinent dans l’accès à la joie et à la paix intérieure.

Un chemin de conscience


Prendre conscience de ce qui nous a été transmis, sans jugement ni culpabilité, mais dans une volonté de compréhension et d’ouverture du cœur va permettre le déconditionnement de vieux schémas lourds de conséquences et ancrés dans notre mémoire cellulaire, notre âme, notre cœur. La façon dont on a été aimé influence notre rapport à l’amour dans le moment présent. Se libérer de nos souffrances et de toutes nos peurs est une invitation à ressentir cette énergie, à se sentir libre d’aimer loin de tout attachement ou toute dépendance à l’autre. L’amour est une vibration, une force créatrice présente au fond de notre être et dans tout l’Univers. Nous pouvons recevoir l’Amour et le donner comme une énergie qui circule de l’intérieur vers l’extérieur ou de l’extérieur vers l’intérieur. Lâchons-prise sur notre désir de toute puissance, à vouloir tout maîtriser ou tout contrôler car l’’amour est un mystère, source de toute vie. Soyons réceptif à l’amour dans l’imprévisible, le partage, la confiance et la liberté. L’amour est un mystère, source de toute vie.

Clotilde MOREAU, Psychologue




"Aimer, ce n'est pas seulement "aimer bien" ; c'est surtout comprendre"
                                         Françoise Sagan




          
                 

lundi 18 février 2013

Fabrice Midal - Mais au fond c'est quoi l'Amour ?


Dernièrement une personne lors de son commentaire m'a parlé de Fabrice Midal
(né en 1967 à Paris, F. Midal est un philosphe français, spécialiste du bouddhisme)

Je me suis donc rendu sur un lien qu'elle m'avait envoyé et je suis tombée sous le "charme" de ses paroles.

Merci Isa pour ce paratage !!!

(et pour ce qui est de la CNV, que tu m'as fait découvrir aussi, elle aura aussi sa place sur ce blog)



Et si de l'amour on ne savait rien ?  de Fabrice Midal

Et si de l'amour on ne savait rien ?

Fabrice Midal

Albin Michel, 2010
« On a trop réfléchi. On a trop parlé et l’on a oublié la manière de vivre l’amour ». Nous inviter à renouer avec l’expérience de l’amour. C’est l’idée de Et si de l’amour on ne savait rien ? (Albin Michel, février 2010). Aimer, c’est donner, s’ouvrir, s’abandonner. Aux autres, au monde. Un cheminement dont nous sommes tous capables, selon Fabrice Midal. À condition d’être prêts à battre en brèche les idées reçues et à se poser les bonnes questions : Qu’est-ce que l’amour ? Pourquoi en avons-nous peur ? Comment aimer ? Un bel hymne à l’amour, dont le philosophe explore les différentes facettes, lui redonnant sa juste place : essentielle.


Voici quelques liens à voir : 


Et si de l'amour on ne savait rien ?
 http://youtu.be/4bTI_FaAgZw


L'amour est le mouvement de donner et de s'ouvrir 
 http://www.dailymotion.com/video/xbu2ox_f-midal-les-visages-de-l-amour-1_creation#.USI2-GdpLUq


L'amour sait en toute vérité
 http://www.dailymotion.com/video/xbu2u9_f-midal-les-visages-de-l-amour-2_creation#.USI3PWdpLUq


Un tendre laisser aller
http://www.dailymotion.com/video/xbu2xv_f-midal-les-visages-de-l-amour-3_creation#.USI3fmdpLUp


Là où l'amour rayonne, la joie chante
http://www.dailymotion.com/video/xbu3ek_f-midal-les-visages-de-l-amour-4_creation#.USI3pmdpLUp


Un sens profond d'unité 
http://www.dailymotion.com/video/xbux06_f-midal-les-visages-de-l-amour-5_creation#.USI37WdpLUp




                                                                                  
                                                                                     Fabrice Midal          




                            


dimanche 17 février 2013

Questions philosophiques et psychologiques


Vu sur Face Book....

Peut-on s’aimer soi-même sans savoir qui on est ?

 

S’aimer soi-même suppose-t-il nécessairement qu’on ait atteint la connaissance de soi ?

 

Quand on s’aime soi-même, comment sait-on qu’on s’aime soi-même et non pas une simple idée qu’on a de soi-même ? 

 

Qui est ce « soi-même » ? En fait, s’aimer soi-même impliquerait vraisemblablement qu’on est répondu à la question : « qui suis-je ? », c’est-à-dire de connaître clairement son identité la plus profonde et la plus véritable.

 

Peut-on sans cette connaissance préalable parler d’un amour pour soi-même ? 

 

Peut-on s’aimer soi-même sans savoir qui on est ?

 

      

 

A méditer !!!!!

 

 

vendredi 15 février 2013

Pourquoi, comment ??

Si vous même ou une personne qui vous est proche, je vous demande dans la mesure du possible de bien vouloir répondre à ce petit questionnaire.
Le seul but est de savoir si la bipolarité, pas encore assez connue, fait que nous avons un point en commun, vous allez comprendre avec ces quelques questions.

Je ne m'attaque à personne à travers ce questionnement, je voudrais juste savoir, comprendre ! Et vous ??

Je vous en remercie par avance

Réponses en bleues me concerne


1)

Quels traitements médicaux votre mère a t-elle pris durant sa grossesse ? (même le plus anodin)




aucun

Quelle nourriture et boissons lui étaient conseillés ?
alimentation normale (aucuns interdits), et eau

Pilule contraceptive prise par la mère avant votre naissance ?
aucune



2)

Quel lait maternisé votre mère a t-elle utilisé ?
guigoz

Quels vaccins avez vous reçus et numéros de lots ?
à partir de mes 2 ans Tetracoq (3 dans la même année, puis 3 dans la même année 3 ans plus tard, 1 l'année suivante, puis 1 tous les cinq ans et puis 1 tous les 10 ans)
le BCG à mes 5 ans
à mes 19 ans, vaccins Genhevac, 3 vaccins dans la même année (1 seul lot inscrit : EMG1835 B6), puis 6 ans après Engerix B (1 fois)

Quels traitements à cours ou longs termes ?
aérius, symbicort, propofan, Art50, Ixprim

(ces renseignements se trouvent dans votre carnet de santé)

Quelles marques de 'petits pots' ?
????


3)

Quelle boissons consommiez vous durant votre adolescence ?
boisson non alcoolisée et alcoolisée (pas de soda)
Quel type de nourriture ?
beaucoup de viande rouge

De quelles maladies avez vous souffert ?
maux d'estomac, migraines
Quelles opérations chirurgicales ? (années)
dents de sagesse (2004)

jeudi 14 février 2013

AIMER - 5 lettres d'émotions...




Le 14 février est considéré comme la journée des amoureux depuis le Moyen âge. Cette tradition est apparue en Angleterre, où l’on pensait que le 14 février était le jour où les oiseaux se reproduisaient.

Désormais, il est de coutume de s’échanger des billets doux entre amoureux, aussi appelés les valentins, ainsi que des roses rouges qui sont l'emblème de la passion.. Aux Etats-Unis et au Canada, cette journée est aussi la journée de l’amitié. La Saint Valentin est à l'origine une fête traditionnelle des pays anglo-saxons mais elle ne connaît un réel développement en France que depuis les années 80.


POUR LES AMOUREUX...
Une petite histoire de la Saint Valentin




Qui est Saint-Valentin ?

Le 14 février c'est la Saint Valentin. Valentin est le patron des amoureux.
Il y a plusieurs légendes en ce qui concerne l'histoire du saint Valentin.

Celle qui revient le plus souvent est la suivante : Saint Valentin était un prêtre qui fût emprisonné et décapité un certain 14 février. L'histoire raconte que les enfants aimaient beaucoup Valentin. Il était leur ami. Pour le réconforter, les enfants lui passaient des messages d'affection à travers les barreaux de sa cellule. C´est peut-être l'explication des petits mots doux qu´on échange, avec des fleurs et des cadeaux, le 14 février ?


L'origine de la fête de la Saint-Valentin est assez mal connue. Il semblerait cependant qu'elle remonte à l'Antiquité.

Saint-Valentin, avant d'être saint, était un prêtre romain du nom de Valentin vivant sous le règne de l'Empereur Claude II (IIIème S.apr-JC). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, également surnommé Claude le Cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d'interdire le mariage pensant que la raison pour laquelle les romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes et foyers respectifs. Malgré les ordres de l'Empereur, Saint-Valentin continua pourtant de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l'existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C'est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue et adressa une lettre, avant d'être décapité, signé " Ton Valentin ".

Ce n'est que plusieurs siècles après, une fois l'Empire romain déchu, qu'il fut canonisé en l'honneur de son sacrifice pour l'amour. Cette époque est en effet celle où une vaste entreprise de transformation des fêtes païennes en fêtes chrétiennes est menée par l' Eglise Catholique.

La Saint-Valentin fut ainsi instituée pour contrer une fête païenne (Lupercalia) à l'occasion du Jour de la fertilité, dédiée à Lupercus, dieu des troupeaux et des bergers, et Junon, protectrice des femmes et du mariage romain. En effet, cette fête était l'occasion de célébrer des rites de fécondité, dont le plus marquant était la course des Luperques, au cours de laquelle des hommes à moitié nus poursuivaient les femmes et les frappaient avec des lanières de peau de bouc. Les coups de lanière reçus devaient assurer aux femmes d'être fécondes et d'avoir une grossesse heureuse. On dit aussi qu'à cette occasion, une sorte de loterie de l'amour était organisée qui consistait à tirer au hasard le nom des filles et des garçons inscrits de façon à former des couples pour le reste de l'année. Voilà qui n'était pas pour plaire aux Saints Pères de l'Eglise primitive qui instaurèrent donc une fête particulière en l'honneur de Saint-Valentin, mort le 14 février 268, ou 270, selon les versions.

Une autre origine de la Saint-Valentin, enfin, remonte au Moyen-Age. On dit en effet qu'à cette époque une croyance se répandit en France et en Angleterre selon laquelle la saison des amours chez les oiseaux débutait le 14 février et que, prenant exemple sur eux, les hommes trouvèrent ce jour propice à la déclaration amoureuse. C'est ainsi que depuis, à la Saint Valentin, chaque Valentin cherche sa Valentine pour mieux roucouler au printemps.

 

L'amour dans tous ses états !
 
Cupidon Saint ValentinEn Grèce le dieu de l'amour s'appelle Éros, et chez les Romains, le nom du dieu de l'amour est Cupidon. On le représente souvent en ange armé d'un arc et de flèches.

Autrefois, on pensait que les sentiments étaient dans le coeur. 
C’est pourquoi aujourd'hui, il y a beaucoup d'expressions avec le mot "coeur" pour parler d'amour :
- Si on a un chagrin d'amour on dit qu'on a le coeur brisé.
- Si on n'a pas d'amoureux ou d'amoureuse, on dit qu'on est un coeur à prendre.
- Si on en a beaucoup d'amoureux, on dit qu'on a un coeur d'artichaut, une feuille pour chacun !



Je t'Aime dans toutes les langues :



Acholi : amari
Afghan : Ma doste derm
Africain : Ek het jou liefe
Akan : Me dor wo
Albanais : Te dua
Alentejano : Gosto de ti, porra !
Allemand : Ich liebe Dich
Algérien : Kanbghik
Alsacien : ich hab di' lieb, ich hab di' gern
Amharic : Ewedishalehu (homme/femme vers femme)
Amharic : Ewedihalehu (homme/femme vers homme)
Anglais : I love you
Apache : Sheth she'n zho'n
Arménien : Yes kez si'rumem
Arpitan savoyard : jhe t'âmo
Assamese (Inde) : Moi tomak bhal pau
Autrichien : Ich liebe dich
Ayamara : mûnsmawa
Bari ( Langage Soudanais) : Nan nyanyar do
Basque : Maïte zaitut
Batak : Holong rohangku di ho
Bavarois : I mog di narrisch gern
Bemba (Zambie) : Ninkutemwe
Bengalais : Ami tomake bhalobashi.
Berbère : Lakh tirikh
Bicol (Philippien) : Namumutan ta ka
Birman : Chi pa de
Bolivien (Quechua) : Qanta munani
Bosniaque : Volim te
Brésilien: Eu te amo (prononcer "eiu chee amu")
Breton : da garan"
Bulgare : Obicham te
Cambodgien : Bon sro lanh oon
Canadien français : Sh'teme , ou j't'aime
Cantonais : Ngo oi ney
Catalan : T'estimo
Cebuano (Philippin) : Gihigugmz ko ikaw
Chamoru ou Chamorro : Hu guaiya hao
Cheyenne : Nemehotates
Chichewas : Ndimakukonda
Chickasaw (USA) : Chiholloli
Chinois : Goa ai li
Comorien : N' game handzo
Coréen : Dangsinul saranghee yo
Corse : Ti tengu cara (homme vers femme)
Corse : Ti tengu caru (femme vers homme)
Créole : Mi aime jou
Créole Antillais (martinique guadeloupe) : mwen inméw
Créole île Maurice :go kontan toi
Créole de la Réunion : Mi aim a ou
Créole Haïtien : muwen renmen' ou
Croate (familier) : Volim te
Danois : Jeg elsker dig
Davvi Semegiella : Mun rahkistin dù
Digbambara : n' bi fe
Dusun : Siuhang oku dia
Ecossais Gallois : Tha gra dh agam ort
Equatorien (Quechua) : Canda munani
Espagnol (Castillan) : Te quiero
Esperanto : Mi amas vin
Estonien : Mina armastan sind
Ethopien : Afgreki'
Farsi : Tora dust mi daram
Finnois (formel) : Minä rakastan sinua
Flamand : Ik hue van ye
Français : Je t'aime
Frisien : Ik hou fan dei
Gaélique : Tha gradh agam ort
Galicien : Amote
Gallois : Yr wyf i yn dy garu di (chwi)
Ghanéen (Akan, Twi) : Me dor wo
Grec : S'ayapo
Groenlandais : Asavakit.
Guarani : Rohiyu (ro-hai'-hyu)
Gujrati (Pakistan) : Hoon tuney chaoon chhoon
Hausa (Niger) : Ina sonki
Hawaiien : Aloha wau ia 'oe
Hébraïque : Ani ohev otach (homme vers femme)
Hébraïque : Ani ohevet otcha (femme vers homme)
Hindi : Mai tumase pyar karata hun (homme vers femme)
Hindi : Mai tumase pyar karata hun.(femme vers homme)
Hmong (ethnie du laos) : Kuv hlub kov
Hokkien : Wa ai lu
Hongrois : Szeretlek
Hopi : Nu' umi unangw´ta
Ibaloi (Philippin) : Pip-piyan taha
Imazighan : Halagh kem
Indonésien : Saya kasih saudari
Irlandais : taim i' ngra leat
Irlandais/Gallois : t'a gr'a agam dhuit
Iroquois mingo : kِnuِhkwa'
Islandais : Eg elska thig
Italien : ti amo
Japonais : Kulo tresno
Javanais : Kulo tresno
Kabile : Hemlar kem (vers une femme)
Kabile : Hemlark (vers un homme)
Kankana-ey (Philippin) : Laylaydek sik-a
Kannada (Inde) : Naanu Ninnanu Mohisuthene
Kikongo : Mono ke zola nge
Kinyarwanda : Ndagukunda
Kiswahili : Nakupenda
Klingon : qamuShá
Kpele : I walikana
Kurde : Min te xoshvet
Langue de Fe(u) : Feje fetai feme ou Jefe taife mefe
Laotien : Khoi huk chau
Lari (Congo, région du Pool) : Ni kou zololo
Latvien : Es tevi milu
Libanais : Bahibak
Lingala (Congo): Na lingui yo
Lithuanien : Tave myliu
Lisbonne (argot de) : Gramo-te bue', chavalinha !
Ligure : mi te amu
Lojban : Mi do prami
Luo ( Kenia) : Aheri
Luxembourgeois : Ech hun dech gär
Maa : Ilolenge
Macédonien : Te sakam
Madrid (argot de) : Me molas, tronca
Maiese : Wa wa
Malais : Saya cintamu
Malayalam : Ngan ninne snaehikkunnu
Malayasien : Saya cintamu
Malgache : Tiako iano
Mandarin : Wo ai ni
Marathi : Me tujhashi prem karto (homme vers femme)
Marathi : Me tujhashi prem karte (femme vers homme)
Marocain : Kanabghik (plus utilisé)
Marshallais : Yokwe Yuk
Mongol : Be Chamad Hairtai (très intime)
Mohawk : Konoronhkwa
Moyi (Congo Brazzaville) : Gakakayo
Munukutuba (Congo, Sud) : Mou zolagué
Naori : ka arocha ahau ki a kor
Navajo : Ayor anosh'ni
Ndebele (Zimbabwe): Niyakutanda
Néerlandais : Ik hou van jou
Népalais : Ma timi sita prem garchhu
Norvégien : Jeg elskar deg (Bokmaal)
Nyanja : Ninatemba
Occitan gascon : Que t'aimi
Occitan languedocien : T'aimi
Oriya : Moon Tumakoo Bhala Paye
Oriya : Moon Tumakoo Prema Kare
Oromoo : Sinjaladha
Osetien : Aez dae warzyn
Ourdou (Inde) : Kam prem kartahai
Ouzbek : Man seni sevaman
Pakistanais : Muje se mu habbat hai
Papiamento : Mi ta stimábo
Pedi : Kiyahurata
Perse : Tora dost daram
Pig Latin : Ie ovele ouye
Picard : ej t'ei kier
Philippinin : Iniibig Kita
Poitevin-Saintongeais : i t'aeme
Polonais : Ja cie kocham
Portugais/brésilien : Eu te amo
Portugais: Eu amo-te
Provençal rhodanien (Mistralien) : T'ame
Punjubi (Inde) : Mai taunu pyar kardar
Quenay : Tye-melane
Roumain : Te ador
Russe : Ya lioubliou tiebia (je t'aime)
Scanien (Skånska) : Jâ hóllor âw di
Samoen : Ou te alofa outou
Sancrit : Anugrag
Serbe : Ja vas volim
Serbo-Croate : Ja te volim
SeSotho : Kiyahurata (prononcer ky-ya-hoo-rata)
Shona : Ndinokuda
Singalais (Ceylan) : Mama oyata adarei
Sioux : Techihhila
Slovaque : Lubim ta
Slovène : Ljubim te
Srilankais : Mama oyata arderyi
Strasbourgeois (variante alsacienne) : Ich hoab dich leb
Sudanais ( Bari ) : Nan nyanyar do
Suaheli (Ouest Afrique) : Ninikupenda
Swahili : Naku enda
Suédois : Iaj Alskar Dej
Suisse allemand : Ch'ha di gärn
Syrien/Libanais : Bhebbek (vers une femme)
Syrien/Libanais: Bhebbak (vers un homme)
Tagaloge : Mahal kita
Tahitien : Ua Here Vau Ia Oe
Tamoul : Nam vi' remberem
Tchèque : Miluji ty (miloujou ti)
Telugu (Inde) : Neenu ninnu prámistu'nnanu


Thaï (formel) : Ch'an rak khun (femme vers homme)
Thaï (formel) : Phom rak khun (homme vers femme)
Timide : heeuuu ! ... (suivi d'un long silence) MDR !!!!!!!!!!!
Tshiluba : Ndi mukasua
Tswama : Ke a go rata
Tunisien : hebbek
Tumbuka : Nkhukutemwa
Turc : Seni seviyorum
Ukrainien : Ya tebe kokhaïou
Unuit (Esquimo) : Ounakrodiwakit
Vai : Na lia
Värmländska : Du är görgo te mäg
Vietnamien : Em yeu anh (femme vers homme)
Vietnamien : Anh yeu em (homme vers femme)
Vilie (Congo) : Mi bekuzola
Volapük : Löfob oli
Wallon : Dji v'zinme
Wollof : Da ma la nop
Yiddish : Ich han dich lib
Yucatec maya : 'in k'aatech
Yougoslave : Ya te volim
Zaïroi : Na lingui yo
Zoulou : Ngiyakuthanda
Zuni : Tom ho' ichema 



A quoi ça sert l' AMOUR !!!!!



BONNE FETE A TOUS LES AMOUREUX !!!!


    

 

 

mercredi 13 février 2013

Michel Fugain - On laisse tous un jour


Ce matin à l'hôpital de jour ma psy nous a fait écouter cette chanson, et lorsque c'est en Français le but est de se concentrer sur les paroles...

Pour moi cette chanson est chargée de souvenirs, de bons comme de mauvais !!!
Il y a quelques jours mon Amie m'a fait comprendre qu'il fallait apprendre à garder au fond de nous les meilleurs, même si ce n'est pas toujours facile, peu à peu j'y arrive, et croyez moi si vous faites cet effort, ce n'est qu'un bonheur. Une petite victoire sur un passé tortueux.

A vous aussi je pense qu'elle vous parlera !!!


                       



             

lundi 11 février 2013

L'estime de soi - Psychologies.com



Jugement que l'on a de soi et que l'on porte sur soi.




Développée par James Noley :

La théorie de l'estime de soi peut être traduite dans le rapport entre ce que nous sommes en tant qu’individu (apparence physique, réussite sociale) et ce que nous souhaiterions être. La construction de l’estime de soi prend ses racines dès la plus petite enfance, avec ce que Jacques Salomé appelle le biberon relationnel. Autrement dit, comment s’effectue la transmission des messages entre l’enfant et ses parents.

Tout comme pour la confiance en soi, le père et la mère jouent un rôle clé dans le développement de l’estime de soi. Si celle-ci se consolide au fil des expériences de la vie, elle n’en est que renforcée si l’on grandit dans un environnement stable, où l’on se sent en sécurité, où l’on est approuvé. Le poids du regard d’autrui est un facteur puissant d’une bonne ou mauvaise estime de soi. Elle est à la base de la construction de la personnalité.

Comme l’ont écrit Christophe André et François Lelord, l’estime de soi « s’entretient et se répare ». 


 

Avoir confiance en soi c’est avant tout se connaître, c’est croire en son potentiel et en ses capacités :




D’après la psychothérapeute Isabelle Filliozat, quatre étapes sont indispensables au développement de la confiance en soi. Elle s’acquiert grâce à une sécurité intérieure, une affirmation des besoins, une acquisition des compétences et une reconnaissance par les autres. Le travail de confiance en soi est un travail d’introspection. Un individu qui se connaît, et qui sait s’accepter aura une confiance en lui plus accrue qu’une personne qui passe son temps à se remettre en question.
La confiance en soi se développe et n’a de cesse d’évoluer au cours de la vie d’un individu. Elle est particulièrement importante au cours des premières années de l’enfant, mais aussi pendant la période de l’adolescence. La famille et les parents jouent alors un rôle déterminant.
Chacun d’entre nous connaît un jour dans sa vie un manque de confiance en soi. Le manque de confiance en soi s’exprime au travers d’une multiplicité de sentiments : timidité, manque d’assurance.
Lorsque ce sentiment se fait trop présent, il peut être utile d’entamer un travail thérapeutique.


"L’opinion que nous avons de nous-même influence toute notre existence. Elle peut nous inhiber ou nous dynamiser" 


 COMMENT RETROUVER L'ESTIME DE SOI ??

Psychiatre et psychothérapeute, le docteur Christophe André nous aide à mieux comprendre les mécanismes de l'estime de soi.Selon lui, tout ne se joue pas au moment de la petite enfance et il est donc possible dagir à tout âge.


             
                                   


 


Trouver que ça sonne juste ou faux, ça s'apprend



A l'hôpital de jour, chaque mercredi matin, je participe à un atelier : "écoute musicale", et je passe à chaque fois un bon moment. J'en ressors toujours libérée, légère comme si j'étais arrivée avec d'énormes bagages et je pars en les laissant sur place !
Après il est vrai je suis épuisée....
Pas facile de se concentrer sur une musique, de donner mes ressentis, si elle m'a fait voyager, ce que signifient les paroles.....car croyez moi sur environ 8/9 patients pas un ne voient les mêmes images, selon son vécu, son bien ou mal être à ce moment précis et le pire c'est le sens des paroles et la façon que chacun de nous les interprétons !!!





                                 Peut-on être bleu et écouter de la musique ? [nicolu] via Flickr CC License by                                                               
Comprendre pourquoi une musique peut paraître agréable ou clairement insupportable à l'être humain est un débat millénaire. Depuis Pythagore, pour qui la musique répond à des règles mathématiques, la majorité des théories se sont accordées pour dire que l'homme a une préférence innée pour les accords consonants, qui s'accordent ensemble selon un lien de fréquence.

Cependant, un article publié sur le site de la BBC rapporte une nouvelle étude tendant à remettre en cause ce caractère inné et presque inexorable de la perception d'un son comme juste ou faux. Une équipe de psychologues de Melbourne, en Australie, ont en effet développé une nouvelle théorie sur la perception et la reconnaissance du son qui redonne sa place à l'acquis.
L’une des questions-clé est de savoir si nos perceptions changent avec l’évolution de notre expérience musicale. Leur recherche s'est fondée sur une expérience réalisée avec 66 volontaires, ayant ou non une formation musicale. Ils ont mis au point une série de tests visant à comprendre leur apprentissage et leur jugement de la dissonance.

«Leurs recherches soutiennent [...] que chaque culture développe plutôt ses propres règles arbitraires pour quels sons sonnent “juste” ou “faux”. L’équipe montre que nos perceptions du juste et du faux peuvent être changées, tout au moins pour les goût musicaux occidentaux, avec juste un petit entraînement.»

 Tout d'abord la dissonance, selon le professeur McLachlan, répond à un processus cognitif particulier. Le journaliste résume:
«Nous écoutons des accords selon un processus complexe et en deux temps. Premièrement, nous sélectionnons le son le plus saillant. Ensuite, une mémoire de long terme sur la “qualité” de cet accord […] fait le reste. Mais si nous entendons un accord dissonant non-familier, nous n’avons pas le bon modèle mental dans notre mémoire pour l’associer –le cerveau fait la recherche tout de même basée sur le son le plus saillant, mais il aura sûrement tort. Le conflit entre ce qu’on entend et ce que l’on “espère” entendre produit un discordant sentiment de gêne.»

Avec l’entraînement musical, la sensation de dissonance devrait donc diminuer car la personne dispose de plus de «modèles d’accords». Cependant, les chercheurs ont trouvé qu’un petit entraînement musical peut avoir un certain effet. Les non-musiciens de l'expérience perdent toute perception du juste ou du faux dans un terrain harmonique inconnu, tandis que les musiciens plus entraînés développent une perception plus rigide de sons, qui s’assouplit cependant avec le temps. Tout n'est donc pas inné.

«De même que ces découvertes appuient le modèle d’apprentissage à la dissonance de MacLachlan, elles impliquent que peut-être nous pouvons apprendre à aimer ce qui nous secouait au début. Et avec un série finale d’expériences, l’équipe de Melbourne a montré que c’était bien le cas.»


Photo: Peut-on être bleu et écouter de la musique ? [nicolu] 
via Flickr CC Licence By


Un petit essai ??? (une musique de médiation prise au hasard)
Un conseil laissez vous porter par la musique, allongez vous si possible et après seulement écoutez vos ressentis, revivez votre voyage...pour certains d'entre vous le voyage sera merveilleux pour d'autre la musique peut vous "agressez"


http://www.youtube.com/watch?v=T_LyJJGJPs4&feature=share&list=PL701F8AB105790BB7



Forum des Brindherbes Engagés - La vérité c'est que quelque chose va très mal dans ce monde…



Forum des Bindherbes Engagés : http://lesbrindherbes.org/


En plein scandale sanitaire autour de la Diane 35, la revue médicale Prescrire publie sur son site la liste de plusieurs dizaines de médicaments plus dangereux qu’efficaces. Et dénonce la complaisance des autorités de santé.

 

Un médicament récent sur cinq disponible sur ordonnance est plus dangereux qu’utile. C’est ce qu’affirme la revue médicale indépendante Prescrire, qui vient de dresser une colossale liste noire d’une centaine de médicaments à retirer du marché sur la base de ses analyses réalisées entre 2010 et 2012. Cardiologie, dermatologie, douleur, psychiatrie, ORL, gynécologie… Il ne manque pas une spécialité dans cet inventaire très précis, qui épingle tout à la fois médicaments anciens et récents et, rappelle le livre polémique des professeurs Even et Debré Le guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux.
Des exemples ? La dompéridone (Motilium), un neuroleptique prescrit contre les reflux gastro-œsophagiens ou les nausées, et qui expose à des troubles du rythme cardiaque et des morts subites… Le Ketum en gel, plus susceptible que d’autres antalgiques de provoquer des troubles cutanés. Ou encore la trimétazidine (Vastarel), utilisée pour soulager l’angine de poitrine, mais qui peut provoquer syndromes parkinsoniens ou hallucinations. « Autant en rester aux traitements éprouvés » estiment dans ce dernier cas les auteurs de l’étude, qui pour chaque médicament épinglé préconisent un mode de traitement alternatif.


Quels risques pour quels bénéfices ?

Prendre un médicament — qui contient par définition un principe actif — n’est certes jamais un acte anodin. Mais ce que pointe du doigt Prescrireavec cette liste, c’est la disproportion entre les bénéfices escomptés d’un certain nombre de substances, et les risques engendrés. Que penser d’un médicament contre l’eczéma (Protopic) susceptible d’entraîner des cancers cutanés ou des lymphomes ? Ou d’une molécule utilisée pour le sevrage tabagique (bupropione) qui peut provoquer des troubles neuropsychiques, des malformations cardiaques congénitales et même… une dépendance ?
La revue dénonce également un certain nombre d’associations médicamenteuses, dangereuses. Elle cite par exemple le Colchimax, spécialité contre la goutte dans laquelle deux substances peuvent masquer les diarrhées. Or celles-ci sont justement les premiers signes d’une surdose potentiellement mortelle de colchicine… « Autant en rester à la colchicine seule » conclut l’équipe.
Mais au-delà de cette liste, librement consultable, c’est surtout un mode de fonctionnement que décrit Prescrire, revue qui n’a jamais caché son indépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique : « En général, une promotion massive des nouveaux médicaments leur assure une image positive aux yeux des patients. Des leaders d’opinion renommés interviennent en leur faveur dans des congrès et les médias spécialisés. Des campagnes mettent en avant le problème de santé visé par le médicament, ce qui pousse les patients concernés à le demander, etc. » analysent les auteurs de l’étude. Ils ne sont guère plus tendres avec les autorités de santé : ils estiment qu’« elles ne font pas leur travail de protection des patients ». Industriels et autorités ont indiqué « étudier la liste ».





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pour en savoir un peu plus :  
http://www.prescrire.org/fr/3/31/48400/0/NewsDetails.aspx 

(arrivé sur cette page, sur votre droite  :                                                                   

Lire le texte complet : Pdf, accès libre)






                                                       

                        

mercredi 6 février 2013

Jean Louis Aubert : On aime (comme on a été aimé)





Une chanson qui me touche énormément (écoutée ce matin à l'hôpital de jour),
une pensée pour tous ceux qui souffrent de névrose d'abandon.....


                                        




Artist: Jean-Louis Aubert
Album: Idéal Standard
Année: 2006
Titre: On Aime (Comme On A Été Aimé)

On invente pas un sentiment
Des baisers donnent l'alphabet
L'amour nous griffe, ouvre ces plaies
L'amour nous soigne, l'amour nous fait

On aime comme on a été aimé

C'est cela qui nous fait courir
De reproduire et faire grandir
Ce qui nous a été donné sans jamais pouvoir en parler

On aime comme on a été aimé

C'est dans les mains de nos parents
C'est dans le coeur de nos amants
Regard aimé, regard aimant
C'est le plus clair de notre temps
Le plus obscur de nos tourment
On apprend pas un sentiment
Même si on veut faire autrement

On aime comme on a été aimé

On dit les chiens n'font pas des chats
Et que l'on est que c'qu'on connait
Qu'on désire ce qu'on ne connait pas, un autre chien, un autre chat

On aime comme on a été aimé

Toutes ces secondes de tendresse
Dérobées à nos portes pièces
Toutes les claques, les maladresses
Pour que ça dure, pour que ça cesse

On aime comme on a été aimé

C'est dans les mains de nos parents
C'est dans les coeurs de nos amants
C'est dans les yeux de nos enfants
C'est le plus clair de notre temps
Le plus obscure de nos tourment
On invente pas un sentiment
Même si on veut faire autrement

On aime comme on a été aimé

Et j'aime comme tu m'as aimé







Le travail de la haine en nous

 

Après avoir travailler sur la haine de soi, et pour être tout à fait honnête, ne pas pouvoir y parvenir, j'ai donc fais des recherches sur le net pour pouvoir m'aider à comprendre, je ne me souviens pas avoir vécue un jour en me disant que je m'aimais bien au contraire, manque de confiance, mes complexes qu'ils soient physiques, au niveau intellectuel...  

Ces mots qui vont suivre m'ont beaucoup aidé à y voir plus clair en moi, à comprendre et surtout confirmer mon avis mais qui n'est pas facile encore aujourd'hui a admettre !!!

Comme me l'a dit ma psy ce matin, il me faut peut être encore plus de temps, car il faut être "stable dans sa tête", ce que je veux dire c'est de n'avoir rien d'autre qui puisse vous envahir. 

 

La haine qui nous habite :

Qu’elle soit collective ou individuelle, familiale ou érigée en argu­ment politique, la haine est partout présente au coeur de nos vies. Haine de l’autre différent, haine de celui qui me fait de l’ombre, haine de soi, haine de ses parents…
Nous avons le même besoin d’aimer, d’être aimés, reconnus, la même soif de vengeance, de destruction, de possession.

Comment naît la haine ? D’où vient ce sentiment, cette passion qui peut nous tenir lieu de mode relationnel une vie durant ? Comment nous agit-elle et quelles sont ses « oeuvres » ? Peut-on en être sauvé ?

.Nous sommes sans cesse renvoyés à notre incapacité à aimer et à être aimé comme nous le voudrions. L’amour que nous désirons tant est inaccessible tel que nous le rêvons, pire, nous sommes amenés à faire ce que nous ne voulons pas
Cri de notre incomplétude et de l’impossible accès à l’amour sans mélange. Lieu d’une vertigineuse blessure qui ne cesse de s’ouvrir.
La maîtrise de nos vies, de nos sentiments nous échappe. L’autre, objet de toutes nos convoitises, reste à jamais inaccessible. Pis encore, sans doute, ce que j’aime le plus est aussi, bien souvent, ce que je hais le plus. Haine et amour : ce couple infernal traverse nos vies. Ambivalence des sentiments.

Une passion triste


Haine et amour : ces deux sentiments sont donc à tenir ensemble. Paradoxe blessant, mais qui dit ce qui constitue notre humanité dès son origine. Tout être humain se construit dans le climat relationnel dans lequel il a été conçu, attendu, et où il a grandi. L’agressivité, la violence, l’amour, la haine, l’angoisse — toute la palette des sentiments et des émotions humaines est présente dès les tout premiers moments. 


À l’origine
« L’objet naît dans la haine. » Avec ces quelques mots, Freud situe la haine au fondement du processus psychique, au principe de toute relation. Avant même qu’on puisse parler d’amour, il suppose une haine originaire : « L’extérieur, l’objet, le haï seraient tout au début identiques. » Amour et haine, en nos vies, se croisent donc sans cesse dès l’origine
Originairement, aimer correspond à incorporer dans le moi l’objet en tant qu’il est satisfaisant, donc source de plaisir. Haïr (…) est lié au déplaisir ; Haïr c’est rejeter, expulser, mettre à distance, mais c’est aussi constituer l’objet (la mère) en le différenciant du moi »

Julia Kristeva, quant à elle, parle d’abjection comme forme originelle de la haine, comme trace la plus ancienne de nos tentatives pour se « démarquer de l’entité maternelle… Nous sommes ici aux frontières de l’univers humain en formation »
Nous sommes aussi dans ce qui constitue, déjà, le traumatisme de la séparation.
La haine, force plus précoce que l’amour, est donc nécessaire à la constitution du sujet et à son auto-conservation, tout en permettant de constituer et d’assurer la permanence de l’objet. Sans la haine, il est impossible de se distinguer de l’objet, donc de sortir de la confusion.

La réaction à une menace
La haine dit aussi une histoire de menace. La menace que repré­sente l’autre pour ma propre survie. La haine est l’expression ultime d’un « narcissisme menacé » pour reprendre les mots de Philippe Jeammet. Plus nous nous sentons menacés, plus nous allons être menaçants pour l’objet qui nous menace. Avoir besoin de l’autre nous fait prendre conscience du pouvoir que l’autre a de ce fait sur nous. Aimer l’autre nous en rend donc dépendant, et pourtant nous ne pouvons nous empêcher de l’aimer.
Il nous faut sans cesse chercher la bonne distance qui évite la dé­pendance ou la rupture. Le passage de l’adolescence est, à cet égard, un moment crucial, tout comme l’ont été, pour chacun de nous, les premiers moments de la vie. En effet, notre étayage, notre sécurité ou insécurité intérieure reposent sur des expériences faites, bonnes ou mauvaises, mais aussi sur des expériences qui n’ont jamais eu lieu et qui auraient dû avoir lieu.

Une histoire de souffrance

Trop ou pas assez d’amour tuent sûrement. En effet, ni l’amour fusionnel qui ne laisse aucun espace entre mon désir et celui de l’autre, ni l’amour lointain qui créé un espace infranchissable entre l’autre et moi, ne permettent d’être. Entre les deux, des myriades de formes relationnelles, jamais exemptes de souffrance.
La haine est ainsi inséparable de la souffrance, dans un déter­minisme circulaire où « la souffrance devient cause de haine et la haine cause de souffrance », pour reprendre les mots de Micheline Enriquez.

La haine n’est-elle parfois que la seule façon de dire l’amour ? Rien ni personne n’a permis à certains de le dire autrement. 
Nous sommes là devant un abîme, celui où le coeur de l’homme en mal de relation d’amour ne peut que hurler sa souffrance dans une violence destructrice envers l'autre, envers soi même...


                                       


 

dimanche 3 février 2013

Un besoin.....



Comment vous remercier pour être de plus en plus nombreux de venir rendre une petite viste sur ce blog, le mien, le vôtre !!!
Hier, par exemple, vous étiez 286 et en ce dimanche à 13h, déjà 94 !!!!!! Merci !!!!

Et encore un plus grand merci à tous ceux qui laissent une trace en alignant quelques lignes.
Merci aussi à tous ceux qui viennent de plusieurs pays différents (surtout sur L. Pausini)

J'aimais je n'aurais pensé qu'un jour j'écrirais.
Plus jeune, j'écrivais quelques fois des poèmes, souvent sur le même thème, que je n'ai par ailleurs jamais fait lire à qui que ce soit.

Sur ce blog je parle de moi, de ce que je ressens au plus profond de moi, de mon combat de chaque jour contre et avec la dépression, la bipolarité, la solitude, l'anxiété, la peur d'abandon...
C'est vrai je m'accroche mais peu à peu je désespère, ma force s'épuise...

Ce que je voulais vous dire c'est que je ne sais pas quand j'écrirais de nouveau.
Aujourd'hui et depuis quelques temps plus rien ne va dans ma vie, alors comme vous pouvez le deviner je suis en sévère dépression.
Et beaucoup trop de pensées m'envahissent.

Je vous souhaite à toutes et à tous un bon dimanche
Prenez soin de vous

Nathy


Je vous fait part d'une des chansons que j'écoute régulièrement, puisqu'elle me parle beaucoup....


                        http://youtu.be/1an8oxuDX2U  

                




samedi 2 février 2013

Incroyable !!! A voir absolument !!!!



Tout simplement touchant, émouvant, époustouflant, un moment exceptionnel !!!!

Incroyable talent en Corée, tout simplement magnifique, touchant, émouvant....

Je vous conseille de mettre en plein écran et le son évidemment

Bonne écoute, mais je n'ai aucun doute


http://www.lecture-positive.com/2011/ce-jeune-homme-nest-pas-conscient-de-son-talent-a-voir-absolument/



vendredi 1 février 2013

Lithium - Evanescence (Français et anglais)

                                                  


evanescence - solitude - traduction française

                                                         


Avez-vous peur d’être abandonné ?


Isolement, agressivité, suractivité… Et si, sans le savoir, vous étiez victime du syndrome d’abandon ? 
Une souffrance qui puise sa source dans l’enfance


À l’origine de cette souffrance, nommé « l’abandonnite », « il y a toujours une situation mal vécue au cours de la vie fœtale, de la prime enfance ou de l’enfance, qui n’est pas forcément un abandon effectif.  Ici, c’est un père absent ; là, une mère débordée, un couple de parents fusionnels, ou encore l’arrivée d’un petit dernier, un séjour en pension, le décès d’un grand-père auquel nous étions particulièrement attachés.


Un traumatisme souvent minimisé


Ces événements, qui sont sans conséquences majeures pour certains, vont être traumatisants pour moi. Pourquoi ne suis je égale devant la peine ?  Chacun de nous a fait pourtant l’expérience de la séparation. Très tôt, je me suis aperçu que mes parents n’étaient pas toujours là, à ma disposition, prêts à répondre à tous mes désirs. Mais je n’ai pas vécu cette solitude de la même façon, faute de temps ou d’une juste compréhension, ils n’ont pas accordé de valeur à mes angoisses. Et les ont renforcées.

J'étais une enfant sauvage que personne ne pouvait approcher, je me cachais sous les lits, dans le moindre recoin pour ne pas avoir à subir les regards, je me recroquevillais un peu comme un foetus pour me sentir en sécurité. Ne pas déranger, heurter, contrarier ma famille et le tout en m'oubliant.

 

                                                                                                             

 

Une crainte : être rejeté de nouveau


Cet épisode traumatisant, peu à peu je vais l’oublier, plutôt le renier, en le minimisant ou en le normalisant. Quoi de plus « normal », en effet, qu’un nouveau petit frère ? Et de plus formidable que des parents qui s’adorent ? La tristesse et la colère éprouvées sont du même coup jetées aux oubliettes. À partir du moment où il n’y a pas de logique à éprouver ces émotions, il ne me reste plus qu’à nier mon droit à les ressentir. Sauf que, même étouffée, l’émotion reste bien présente.  En surface, le raisonnement, mon "éducation" m'amène à penser que tout cela n’est que du passé et doit être oublié. Mais à l’intérieur, ça BOUT !!!
Alors puisque j'ai été abandonnée, je ne suis pas digne d’être aimée. Cette croyance va dès lors sous-entendre toutes mes relations sociales et affectives.
Je vais donc osciller entre hyper-sociabilité et hyper-agressivité, selon que je ressens le besoin viscéral d’être aimée et que dans le même temps je désire provoquer le rejet de l’autre, convaincu que j'aurai inévitablement à le subir un jour.  Un cercle vicieux, qui me mène à des conduites paradoxales.  
Au cœur de la douleur, une peur : celle d’être rejetée et abandonnée de nouveau !!


                                                                                        


Une incapacité à vivre


Aujourd'hui je me rend compte que je règle mes comptes avec mes proches (amour, amitié, famille..) de ce mal être provenant de mon enfance,. Et je projette sur l’autre les angoisses de mon passé. 
Je vis constamment dans la peur que l'on m'abandonne.
D’un côté, ce sentiment de ne pas correspondre à ce que l'on attend de moi, la certitude que la rupture est inéluctable. Et celle-ci, lorsqu’elle se produit, apparaît comme une nouvelle preuve que je ne suis pas aimable.
Que faire d’un bagage si lourd à porter ? 
Comment prendre la mesure de mon propre degré d’« abandonnite » et tenter de l’apaiser ??

la psychologue clinicienne Andréa Filia, propose un test et des conseils. Pour se pardonner un jour d’avoir été abandonné, et mériter aujourd’hui d’être aimé.  
         



Selon Catherine Audibert, tout est question d’équilibre.  Il s’agit en fait d’apprendre à l’enfant à se séparer de façon sereine et confiante :


Apprendre aux enfants à se séparer :

La tentation est grande de préserver à tout prix nos enfants de « l’abandonnite ». Mais attention à ne pas tomber dans l’excès inverse.

« Il s’agit en fait d’apprendre à l’enfant à se séparer de façon sereine et confiante. Si vouloir l’émanciper avant qu’il n’en soit capable est dangereux, le surprotéger mènera à la même problématique abandonnique. Dès son plus jeune âge, il est judicieux de lui laisser des petits moments à lui, même s’il s’ennuie, afin qu’il parte à la découverte de lui-même, qu’il développe sa créativité et sa curiosité. Nous avons tendance à surinvestir l’enfant, à vouloir l’occuper en permanence, à lui expliquer sans cesse ce qui se passe autour de lui. Nous oublions parfois qu’il est tout à fait capable de faire ses propres expériences. » 
Et d’apprendre à gérer la solitude et notre absence.

 

 

Je vais tenter d'expliquer ce qu'est ma vie mon mal être, ma parano....

Je suis actuellement en accident de travail depuis 2 ans, de quoi ruminer encore plus...
Un manque de confiance en moi certain, alors je dis oui à tout ce que l'on me demande, comme si je voulais acheter cette relation, qu'elle soit amoureuse, amicale, familiale.. pour simplement avoir l'espoir d'être aimée !!

Et non je ne sais pas m'occuper de moi, et ce "moi" n'a aucune importance à mes yeux, ce qui semble paradoxal, je veux être aimée et d'un côté je ne me préoccupe pas de ma personne; Comment expliquer cela ? Qui sera me répondre ?

Quand on ne me parle pas ça ne va pas bien, quand on me parle je m'imagine tout et n'importe quoi, oui j'ai peur que l'on m'abandonne, mais en même temps il y a des moments où quand je sens la pression monter, je pousse les gens à bout, je les provoque, à des points inexplicables, mais arrivé à un seuil je sens un bien être et dès ce seuil atteint je m'en veux horriblement d'avoir fait cela et puis la culpabilisé m'étouffe !!! Une incompréhension que je ne peux maîtriser.

Oui je suis possessive, jalouse, cette peur de ne pas être aimée, je doute de tout, peur de ne pas être à la hauteur, peur d'être seule, peur que l'on ne s'occupe pas de moi et quand on le fait je me dis que c'est par pitié et que c'est aussi lorsque l'on besoin de moi.
Peur que l'on me cache des choses, que l'on profite de moi, oui on me dit souvent "tu es gentille', mais qu'est ce que cela signifie exactement ?
C'est vrai je n'ose pas contredire les autres, dire et faire ce que je veux. J'ai peur de les faire souffrir, peur de ne pas être acceptée, de ne pas être aimée encre et encore !

Je pense que je dois travailler à bâtir une sécurité intérieure, qui me suive et avec qui que je sois, au lieu de chercher la sécurité affective chez l'autre. Ainsi je ne me retrouverai plus devant un précipice à la moindre menace de rupture.

Je sais enfin, être très compliquée, mais je ne sais plus quoi faire, je me dis que je suis folle !
Suis-je normal ? Non je ne le pense pas, sinon je ne m'isolerai pas autant et en même temps je ne demanderai pas autant d'attention.
Je suis à bout, à bout de ce mal être, de ne pas savoir qui je suis, et où j'en suis ?


Mais aujourd'hui j'ai un espoir, je commence à comprendre....

et j'espère bientôt avoir la réponse !!!!!

 

 

                                 

 

 

Un profond malaise !!!



Le temps me pèse
Je ressens un malaise
J'en ai ma claque
Des portes qui claquent

Je perds mon énergie
A vouloir accélérer le temps
L'impatience me guette
Mes pensées, une réelle folie !

Toujours tout recommencer
Repartir sur une nouvelle lancée
Comme une fleur fanée
Chaque jour, apprendre à marcher

 

J'ai grave la peur d'abandon 

Qui me bouffe, m'angoisse, un désarroi

Une réelle souffrance inexplicable...

Ce manque de confiance en moi

Un travail qui sera très long 

Connaître une liberté canalisable...


Qui veut bien me tendre la perche
Qui sera me lancer la ligne....





Maladie exceptionnelle en ce qu'elle confère gratification et plaisir,

et n'en apporte pas moins dans son sillage une souffrance quasi intolérable et,

moins rarement qu'on le pense, le suicide.


Kay Redfield Jamison