Hypnose, la dynamique mentale, la pensée positive, la mémoire, la concentration, la confiance en soi, le potentiel qui sommeil en moi, éveiller ma puissance intérieure...
Une pensée déprimante gâche ma journée en quelques secondes, ce qui me démobilise et démotive. Et tout s'enchaîne à vive allure, je vais chercher un afflux de plusieurs pensées toutes aussi négatives. Je pense à...Je pense que...
Entrer en communication avec mon subconscient. Cet esprit très malléable et influençable, qui ne remet jamais en cause mes pensées. Régisseur de mes habitudes, bonnes ou mauvaises, qui les restituent sous forme de comportements que je ne peux maîtriser. Les pensées se succèdent les unes après les autres avec une intensité impressionnante.
Avoir une vision personnelle pour mon avenir est une source d'inspiration.
Evaluer le présent, ce qui fonctionne dans ma vie actuellement, ce que j'aimerai changer.
Mes ressources personnelles, mes compétences, mes forces, mes faiblesses, quelles sont les valeurs importantes dans ma vie ?
Penser à ce que j'aimerai réaliser sans aucune limitation.
Si je pouvais réaliser mes désirs les plus profonds, quels seraient ils ?
J'ai la sensation de perdre toute ma force intérieure, mon intelligence émotionnelle. Je n'arrive plus qu'à agir en me souvenant comment j'étais avant, la sensation de ne plus avoir de coeur et de ne penser qu'avec ma raison. Il me manque une partie de moi.
La peur de l'inconnu.
Croire en mon intuition, peut elle me rendre service.
Pourquoi ce journal intime ?
Un besoin d'écrire tout simplement ? Aligner les mots et maux comme une thérapie ?
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie
lundi 25 juin 2012
Albert Camus
« En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout.»
(extrait du livre : Le mythe de Sisyphe)
Nos rêves devenir réalité
Lorsque commence à s'imaginer sa vie, on rêve d'une vie de famille avec des enfants, d'une maison, d'un travail...
D'avoir raté ma vie, de ne pas eu avoir la chance de connaître le bonheur d'être maman, à chaque fois ça me fait mal. Apprendre que c'est impossible, compter sur le facteur chance.
Je pense même qu'il n'y a rien de pus dur que de ne pas connaître la joie de sentir son enfant bouger, la première échographie, choisir un prénom, donner la vie en ayant aimé et être aimée, l'allaiter.
Le voir grandir, évoluer à son allure, les premiers pas, le premier jour de la rentrée scolaire. Ses premières amours, ses tristesses, ses éclats de rire.
Sentir son odeur, sa peau.
Cette sensation de vide, elle sera présente à chaque fois ?
Il ne me sert à rien de me mentir, que j'oublierai, que ça ira mieux demain, c'est faux.
C'est en moi comme incrusté, ça reste, ça persiste. Cette sensation d'être immensément vide. C'est ce que je ressens et c'est bel et bien la seule chose que je suis encore capable de ressentir.
J'ai mal, c'est dur, c'est long, ça prend du temps beaucoup trop de temps, cette impression de mourir par cette douleur... mais je survie.
Comment cesser ce déchirement ? Comment stopper cette pensée, ce regret, cet échec ? Est-ce possible ?
D'avoir raté ma vie, de ne pas eu avoir la chance de connaître le bonheur d'être maman, à chaque fois ça me fait mal. Apprendre que c'est impossible, compter sur le facteur chance.
Je pense même qu'il n'y a rien de pus dur que de ne pas connaître la joie de sentir son enfant bouger, la première échographie, choisir un prénom, donner la vie en ayant aimé et être aimée, l'allaiter.
Le voir grandir, évoluer à son allure, les premiers pas, le premier jour de la rentrée scolaire. Ses premières amours, ses tristesses, ses éclats de rire.
Sentir son odeur, sa peau.
Cette sensation de vide, elle sera présente à chaque fois ?
Il ne me sert à rien de me mentir, que j'oublierai, que ça ira mieux demain, c'est faux.
C'est en moi comme incrusté, ça reste, ça persiste. Cette sensation d'être immensément vide. C'est ce que je ressens et c'est bel et bien la seule chose que je suis encore capable de ressentir.
J'ai mal, c'est dur, c'est long, ça prend du temps beaucoup trop de temps, cette impression de mourir par cette douleur... mais je survie.
Comment cesser ce déchirement ? Comment stopper cette pensée, ce regret, cet échec ? Est-ce possible ?
dimanche 24 juin 2012
Un mot
Sophie, j'adore cette chanson et encore plus quand tu la chantes avec tes camarades de la chorale.
Un jour je t'ai demandé pour mes adieux de ma faire une faveur c'est d'avoir cet air pour m'accompagner. Je me souviens de ton regard, de tes mots...
mercredi 20 juin 2012
Grande soeur
Grande soeur toi qui compte beaucoup dans ma vie et que je sais triste en ce moment...
Juste te dire que je suis là pour toi, jours et nuits...
Je veux te voir heureuse, rire de nouveau, être toi tout simplement, cette personne unique, exceptionnelle dont je suis fière...
Tu es toujours là pour moi et aujourd'hui je ne sais que faire pour toi, te sentir si désemparée me fait mal...
Ma grande soeur je t'aime
When I am down and, oh my soul, so weary.
Quand je vais mal, oh mon âme, si lasse
When troubles come and my heart burdened be.
Quand les problèmes viennent et que mon coeur s'alourdit,
Then, I am still and wait here in the silence,
Alors je suis immobile et j'attends ici en silence,
Until you come and sit awhile with me.
Juste que tu viennes et que tu t'assoies un moment avec moi.
[Chorus] (x2)
[Refrain] (x2)
You raise me up, so I can stand on mountains ;
Tu m'élèves, alors je peux me tenir sur des montagnes.
You raise me up, to walk on stormy seas ;
Tu m'élèves, pour marcher sur des mers déchaînées.
I am strong, when I am on your shoulders ;
Je suis fort, quand je suis sur tes épaules.
You raise me up - to more than I can be.
Tu m'élèves - vers plus que je puisse être
There is no life - no life without its hunger ;
Il n'y a pas de vie- pas de vie sans sa faim
Each restless heart beats so imperfectly ;
Chaque coeur fatigué bat si imparfaitement
But when you come and I am filled with wonder,
Mais lorsque tu viens, je suis remplis d'émerveillement
Sometimes, I think I glimpse eternity.
Quelquefois, je pense apercevoir l'éternité.
Juste te dire que je suis là pour toi, jours et nuits...
Je veux te voir heureuse, rire de nouveau, être toi tout simplement, cette personne unique, exceptionnelle dont je suis fière...
Tu es toujours là pour moi et aujourd'hui je ne sais que faire pour toi, te sentir si désemparée me fait mal...
Ma grande soeur je t'aime
Paroles et traduction de "You Raise Me Up"
You Raise Me Up (Tu Me Relèves)When I am down and, oh my soul, so weary.
Quand je vais mal, oh mon âme, si lasse
When troubles come and my heart burdened be.
Quand les problèmes viennent et que mon coeur s'alourdit,
Then, I am still and wait here in the silence,
Alors je suis immobile et j'attends ici en silence,
Until you come and sit awhile with me.
Juste que tu viennes et que tu t'assoies un moment avec moi.
[Chorus] (x2)
[Refrain] (x2)
You raise me up, so I can stand on mountains ;
Tu m'élèves, alors je peux me tenir sur des montagnes.
You raise me up, to walk on stormy seas ;
Tu m'élèves, pour marcher sur des mers déchaînées.
I am strong, when I am on your shoulders ;
Je suis fort, quand je suis sur tes épaules.
You raise me up - to more than I can be.
Tu m'élèves - vers plus que je puisse être
There is no life - no life without its hunger ;
Il n'y a pas de vie- pas de vie sans sa faim
Each restless heart beats so imperfectly ;
Chaque coeur fatigué bat si imparfaitement
But when you come and I am filled with wonder,
Mais lorsque tu viens, je suis remplis d'émerveillement
Sometimes, I think I glimpse eternity.
Quelquefois, je pense apercevoir l'éternité.
dimanche 17 juin 2012
Citations...Victor Hugo
Les mots manquent aux émotions.
Une âme est plus grande qu'un monde.
Le suicide, cette mystérieuse voie de fait sur l'inconnu.
Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens. Mais, dans l'oeil du vieillard, on voit de la lumière.
Ce que j'étais hier, je le serais demain.
Dans "connaitre", il y a "naître".
L'enfer c'est l'absence éternelle.
Vous m'offrez la cité...je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de coeur au rocher, moins de bêtise aux bêtes.
Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
L'espérance serait la plus grande des forces humaines si le désespoir n'existait pas.
L'enfer est tout entier dans ce mot "solitude".
Où vais-je, je ne sais pas. Mais je me sens poussé d'un souffle impétueux, d'un destin insensé.
L'indécision en effet est une solitude. Vous n'avez même pas votre volonté avec vous.
Ce n'est rien de mourir, c'est affreux de ne pas vivre.
Une âme est plus grande qu'un monde.
Le suicide, cette mystérieuse voie de fait sur l'inconnu.
Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens. Mais, dans l'oeil du vieillard, on voit de la lumière.
Ce que j'étais hier, je le serais demain.
Dans "connaitre", il y a "naître".
L'enfer c'est l'absence éternelle.
Vous m'offrez la cité...je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de coeur au rocher, moins de bêtise aux bêtes.
Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
L'espérance serait la plus grande des forces humaines si le désespoir n'existait pas.
L'enfer est tout entier dans ce mot "solitude".
Où vais-je, je ne sais pas. Mais je me sens poussé d'un souffle impétueux, d'un destin insensé.
L'indécision en effet est une solitude. Vous n'avez même pas votre volonté avec vous.
Ce n'est rien de mourir, c'est affreux de ne pas vivre.
mardi 12 juin 2012
Babeth
A cette époque tu n'étais pas bien, ton mariage n'était pas au beau fixe, tu rêvais d'une vie meilleure. Tu étais tout simplement perdue. Ton mari venait de se suicider mais l'amour que tu éprouvais pour lui était toujours bien présent.
Nous avons été présentées lors d'une soirée par un ami en commun puis durant cinq années nous ne nous sommes jamais quittées.
Cette amitié qui nous liait était simple, nous étions comme deux frangines. Tu m'envoyais souvent un petit mot dans la semaine et quand arrivait le jeudi notre seul but était de passer le week end ensemble.
Lorsque tu allais dans le Nord rejoindre ton cousin, ta bouffée d'air comme tu le disait, avec qui tu avais de très bonnes relations, j'avais toujours droit à un petit souvenir de ton escapade. Combien de fois m'as tu demandé d'y aller avec toi mais mon boulot ne me le permettait pas je n'avais pas droit aux mêmes dates de congés que toi.
Souvent je t'ai vu pleurer, tu as beaucoup partager tes années de mariage, tu avais un besoin d'en parler et d'avoir quelqu'un près de toi pour t'écouter, comprendre.
Je me souviens avoir reçu un petit paquet de toi, où à l'intérieur se trouvait un petit mot avec une cassette qui contenait les chansons préférées de ton mari, Michel Sardou.
Durant ces années il est vrai nous avons fait beaucoup de virées, tu recherchais sans cesse sans jamais pouvoir retrouver l'amour. Et de cela tu en souffrais terriblement. Je me rappelle ces nuits blanches où nous discutions car je n'étais pas d'accord avec ton comportement, je savais qu'au fond de moi tu te détruisais.
Le faisais tu consciemment ou inconsciemment, aujourd'hui encore je me pose la question.
Il y a quelques mois nous nous sommes rencontrées par hasard. Je t'ai demandé de venir déjeuner à la maison. Je n'ai reçu qu'une réponse de ta part par sms m'expliquant que je te rappelais un mauvais moment de ta vie que tu voulais oublié, que tu avais suivi une thérapie pour t'en sortir. Ce que je respecte.
Babeth tout ce que j'ai envie de te dire c'est que je te souhaite tout le bonheur que tu mérites.
Que je garde malgré tout moi d'autres souvenirs, des fou rires que nous avons partagés, que j'ai été fière de t'avoir près de moi, que tu es une personne merveilleuse.....
Adieu Babeth
vendredi 8 juin 2012
La bonté humaine ??
Dans son inspirant ouvrage La bonté humaine,
Jacques Lecomte cite un texte de Mordecai Paldiel, qui fut directeur du
département des Justes parmi les nations, en Israël. Selon lui, c’est
la bonté fondamentale, présente en chacun de nous, qui est la clé qui
nous ouvre la compréhension des comportements de ceux qui ont risqué
leur vie pour sauver leurs semblables. Pour Paldiel, les actions des
sauveteurs démontrent que l’altruisme est une « prédisposition humaine
innée ». Selon les mots de Paldiel:
« Plus j’examine les actes des Justes parmi les nations, écrit-il, plus je doute de la validité de la tendance habituelle à magnifier ces actions dans des proportions déraisonnables. Nous avons tendance à regarder ces bienfaiteurs comme des héros : d’où la recherche de motivations sous-jacentes. Cependant, les Justes se considèrent eux-mêmes en rien comme des héros, et perçoivent leur comportement durant l’Holocauste comme parfaitement normal. Comment résoudre cette énigme ?
Pendant des siècles, nous avons subi un lavage de cerveau par les philosophes qui ont mit l’accent sur l’aspect détestable de l’homme, soulignant sa disposition égoïste et malveillante, au détriment de ses autres attributs. Consciemment ou non, avec Hobbes et Freud, nous acceptons la proposition selon laquelle l’homme est essentiellement un être agressif, enclin à la destruction, concerné principalement par lui-même, et seulement marginalement intéressé par les besoins des autres (…)
La bonté nous stupéfie, car nous refusons de la reconnaître comme une caractéristique humaine naturelle. Aussi, nous cherchons longuement une motivation cachée, une explication extraordinaire de ce comportement si particulier. (…)
En cherchant une explication aux motivations des Justes parmi les nations, ne sommes-nous pas en train de dire : mais qu’est-ce qui n’allait pas chez eux ? Ne sommes-nous pas, dans un sens plus profond, en train de sous-entendre que leur comportement était anormal ? Est-ce possible que nous créons ainsi un problème là où il ne devrait pas y en avoir ? (…)
Au lieu d’essayer de mettre poliment de la distance entre eux et nous tout en louant leurs actions, ne serait-il pas préférable de redécouvrir le potentiel altruiste en nous ? Aider de temps en temps quelqu’un, même si c’est particulièrement difficile, fait partie de notre nature humaine et de nos comportements. (…)
Ne cherchons pas des explications mystérieuses de la bonté chez les autres, mais redécouvrons plutôt le mystère de la bonté en nous-mêmes. »
« Plus j’examine les actes des Justes parmi les nations, écrit-il, plus je doute de la validité de la tendance habituelle à magnifier ces actions dans des proportions déraisonnables. Nous avons tendance à regarder ces bienfaiteurs comme des héros : d’où la recherche de motivations sous-jacentes. Cependant, les Justes se considèrent eux-mêmes en rien comme des héros, et perçoivent leur comportement durant l’Holocauste comme parfaitement normal. Comment résoudre cette énigme ?
Pendant des siècles, nous avons subi un lavage de cerveau par les philosophes qui ont mit l’accent sur l’aspect détestable de l’homme, soulignant sa disposition égoïste et malveillante, au détriment de ses autres attributs. Consciemment ou non, avec Hobbes et Freud, nous acceptons la proposition selon laquelle l’homme est essentiellement un être agressif, enclin à la destruction, concerné principalement par lui-même, et seulement marginalement intéressé par les besoins des autres (…)
La bonté nous stupéfie, car nous refusons de la reconnaître comme une caractéristique humaine naturelle. Aussi, nous cherchons longuement une motivation cachée, une explication extraordinaire de ce comportement si particulier. (…)
En cherchant une explication aux motivations des Justes parmi les nations, ne sommes-nous pas en train de dire : mais qu’est-ce qui n’allait pas chez eux ? Ne sommes-nous pas, dans un sens plus profond, en train de sous-entendre que leur comportement était anormal ? Est-ce possible que nous créons ainsi un problème là où il ne devrait pas y en avoir ? (…)
Au lieu d’essayer de mettre poliment de la distance entre eux et nous tout en louant leurs actions, ne serait-il pas préférable de redécouvrir le potentiel altruiste en nous ? Aider de temps en temps quelqu’un, même si c’est particulièrement difficile, fait partie de notre nature humaine et de nos comportements. (…)
Ne cherchons pas des explications mystérieuses de la bonté chez les autres, mais redécouvrons plutôt le mystère de la bonté en nous-mêmes. »
jeudi 7 juin 2012
Confucius
La vie de l'homme dépend de sa volonté, sans volonté, elle serait abandonnée au hasard.
La plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute.
Ce que l'on ne désire pas pour soi, ne pas le faire à autrui.
Celui qui le matin a compris les enseignements de la sagesse, le soir peut mourir content.
La joie est un tout. Il s'agit de savoir l'extraire.
L"expérience est une lanterne que l'on porte sur le dos et qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru.
lundi 4 juin 2012
Un lundi noir
C'est encore une fois le vide dans ma tête. Je tente de comprendre une personne que je pensais connaître pour laquelle je ressens des sentiments amicaux, mais avec qui aussi j'ai aussi de temps à autre des rapports amoureux.
Un de ses amis m'a fait comprendre ce week end qu'il profitait de moi, qu'il se moquait de moi, que ce soit au niveau amoureux ne me touche pas, mais dans notre relation amicale je suis blessée.
En effet à une époque il s'est retrouvé deux mois sans aucun revenu, je lui achetait à manger, lui prêtait ma voiture, je lui ai donné de la vaisselle, du petit électroménager.... je l'ai aidé dans toutes démarches administratives pour qu'il est des droits....enfin j'ai tout donné et répondu présente à chaque instant qu'il avait besoins...et aujourd'hui que tout est rentré en ordre dans sa vie qu'il a retrouvé du travail, qu'il travaille en plus pour lui en dehors de son boulot, en clair qu'il n'a plus besoin de moi, je ne suis qu'une personne lambda.
Ca fait un mal de chien, je ressens encore comme un abandon qui n'ai que ma vie encore et encore.
Si je m'écoutais je me défoncerais mais ce n'est pas la solution, d'ailleurs je veux ne plus toucher à ces addictions, j'espère tenir le coup. Je sais qu'elles ne m'apportent que des problèmes, mes idées deviennent noires et j'ai tellement envie de prouver à mon amie, ma frangine que je suis capable. Et à me le prouver à moi même aussi.
Mais pour l'instant je suis découragée, en plus de cette nouvelle mon nouveau départ dans cette nouvelle maison ne se fera plus parce qu'une héritière est revenue sur sa décision et a décidé de ne plus vendre.
Je suis restée toute la journée enfermée, sans prendre ma douche, allongée sur le canapé à tenter de comprendre. Mais le sac de noeuds est toujours en moi.
Une nuit emplie de cauchemars, un lundi noir, une journée sans espoirs !!
Un de ses amis m'a fait comprendre ce week end qu'il profitait de moi, qu'il se moquait de moi, que ce soit au niveau amoureux ne me touche pas, mais dans notre relation amicale je suis blessée.
En effet à une époque il s'est retrouvé deux mois sans aucun revenu, je lui achetait à manger, lui prêtait ma voiture, je lui ai donné de la vaisselle, du petit électroménager.... je l'ai aidé dans toutes démarches administratives pour qu'il est des droits....enfin j'ai tout donné et répondu présente à chaque instant qu'il avait besoins...et aujourd'hui que tout est rentré en ordre dans sa vie qu'il a retrouvé du travail, qu'il travaille en plus pour lui en dehors de son boulot, en clair qu'il n'a plus besoin de moi, je ne suis qu'une personne lambda.
Ca fait un mal de chien, je ressens encore comme un abandon qui n'ai que ma vie encore et encore.
Si je m'écoutais je me défoncerais mais ce n'est pas la solution, d'ailleurs je veux ne plus toucher à ces addictions, j'espère tenir le coup. Je sais qu'elles ne m'apportent que des problèmes, mes idées deviennent noires et j'ai tellement envie de prouver à mon amie, ma frangine que je suis capable. Et à me le prouver à moi même aussi.
Mais pour l'instant je suis découragée, en plus de cette nouvelle mon nouveau départ dans cette nouvelle maison ne se fera plus parce qu'une héritière est revenue sur sa décision et a décidé de ne plus vendre.
Je suis restée toute la journée enfermée, sans prendre ma douche, allongée sur le canapé à tenter de comprendre. Mais le sac de noeuds est toujours en moi.
Une nuit emplie de cauchemars, un lundi noir, une journée sans espoirs !!
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