Chaque année, 11 000 personnes se donnent la mort en France, et 160 000 tentent de le faire. Le suicide tue trois fois...
http://pluzz.francetv.fr/videos/enquete_de_sante_,84276458.html
Pourquoi ce journal intime ?
Un besoin d'écrire tout simplement ? Aligner les mots et maux comme une thérapie ?
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
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Nathalie
mercredi 26 juin 2013
lundi 24 juin 2013
Le choc post-traumatique
La vie apporte souvent des événements et des incidents qui marquent, à divers niveaux, l'existence de chacun d'entre nous. Certains sont si inattendus ou éprouvants que le témoin, ou la victime, a peine à s'en remettre. La personne peut alors développer un stress post-traumatique, un trouble anxieux qui afflige pratiquement un Canadien sur dix.
Le choc post-traumatique se caractérise par des rappels d'images, communément appelés flash-back ou des cauchemars au cours desquels la personne revit, à la seconde près, l'événement stressant. D'autres peuvent devenir complètement désensibilisés émotionnellement. Si les symptômes persistent durant plus d'un mois, les psychologues parlent alors d'un trouble du choc post-traumatique.
Le choc post-traumatique : les causes
Généralement, le trouble du choc post-traumatique se veut le résultat d'un événement psychologiquement traumatisant au cours duquel votre vie, ou celle d'un proche, court un grave danger. De plus, il apparaît souvent chez les témoins d'un accident ou d'une agression violente, voire d'une catastrophe ou d'un phénomène météorologique dévastateur.
Ainsi, un viol, une agression sexuelle, l'inceste, un vol avec violence, un accident d'automobile, un écrasement d'avion, un ouragan ou une tornade constituent des agents stressants qui peuvent déclencher ce trouble anxieux, que la personne soit seule ou en groupe.
Chez d'autres, le décès d'un être cher peut être un élément déclencheur, même si la personne n'a pas été directement témoin de sa disparition. Les psychologues parlent alors d'un contre-choc psychologique.
À ce chapitre, la Cour supérieure du Québec accordait, le 13 octobre 2010, le statut de « victime » à une maman qui, cinq ans plus tôt, a subi un choc post-traumatique après que sa fille ait été tuée lors d'une opération de déneigement, à Montréal. Au moment d'écrire ces lignes, la Société de l'assurance automobile du Québec, qui a toujours refusé de verser une indemnité à la mère, n'avait pas pris la décision d'en appeler de ce jugement qualifié d'historique par de nombreux juristes.
Le choc post-traumatique : les symptômes
Les symptômes du choc post-traumatique se manifestent généralement dans les trois mois qui suivent l'agent stressant. Leur durée ou leur intensité peuvent varier d'une personne à l'autre, selon la gravité de l'événement et de l'état psychologique qu'il déclenche. Chez certains, le trouble anxieux peut apparaître plusieurs mois ou plusieurs années plus tard.
Les psychologues déterminent trois types de réactions au choc post-traumatique.
Flash-back
Dans un premier temps, la personne revit, à des intervalles plus ou moins fréquents, l'élément stressant. Elle sera alors victime de cauchemars ou de rappels d'images de l'événement. Ces rappels peuvent se produire lorsqu'elle se retrouve dans un contexte similaire, en voyant la photographie d'un être cher disparu ou à l'anniversaire de l'agent stressant. Dans un cas comme dans l'autre, elle connaîtra un sentiment d'inconfort intense.
Évitement et insensibilité
La personne aux prises avec un trouble du choc post-traumatique peut aussi avoir recours à l'évitement, ou à l'insensibilité émotive, involontairement bien sûr. Ces symptômes apparaissent généralement très tôt après l'agent stressant. Dans le premier scénario, elle fera tout pour éviter de se retrouver dans la même situation, en évitant de conduire si elle a eu, ou a été témoin, d'un accident grave, par exemple. L'insensibilité émotive, pour sa part, se traduit par un repli sur soi-même et la fuite des proches. La personne restera prostrée des heures entières, perdant tout intérêt pour des activités qui, avant l'événement, avaient une grande importance à ses yeux. Elle développera généralement un important sentiment de culpabilité.
Dissociation
Parfois, la personne entre dans un état dissociatif. Elle revivra alors complètement l'événement, sur une période de quelques minutes, de quelques heures ou de quelques jours. Cet état se manifeste plus rarement, mais il se produit parfois chez les personnes victimes d'un accident d'avion, qui ont été témoins d'un meurtre ou qui ont été l'objet d'une violente agression mettant leur existence en danger.
Insomnie, manque de concentration et agressivité
Chez certaines personnes affectées par le trouble du choc post-traumatique, les symptômes se traduisent par un changement dans les habitudes de sommeil et de l'éveil mental. Souffrant d'insomnie et de difficultés à se concentrer, elles peuvent également éprouver de sérieuses difficultés à effectuer certaines activités dans la vie courante : se concentrer au travail, rédiger une lettre, payer des factures, voire faire la cuisine. D'autres individus deviendront plus agressifs.
Ces symptômes peuvent apparaître quelques jours, quelques semaines ou quelques mois après l'événement stressant et ils peuvent durer plusieurs mois, ou plusieurs années.
Le choc post-traumatique : les conséquences
Outre les difficultés à composer avec les agents stressants qui ont provoqué le choc post-traumatique, la personne aux prises avec ce problème développe souvent une dépendance à l'alcool ou aux drogues. Elle peut également souffrir de dépression ou de divers troubles anxieux connexes tels des crises de panique ou des épisodes d'angoisse.
Certains nourrissent même des pensées suicidaires ou se retrouvent isolés socialement, en raison d'une perte d'emploi et/ou de conflits familiaux. Il n'est pas rare, par exemple, qu'un couple se sépare après la mort d'un enfant.
La victime peut également devoir composer avec des douleurs au thorax, des étourdissements, des problèmes intestinaux et, parfois, des déficiences du système immunitaire.
Les impacts du trouble du choc post-traumatique peuvent donc être importants. Toutefois, si le médecin ignore la cause exacte de ces malaises, il sera porté à les traiter individuellement alors qu'ils sont tous issus d'un élément extérieur qui affecte les facultés mentales et qui entraîne des problèmes physiques.
Le choc post-traumatique : les traitements
Médication
Heureusement, il existe des traitements pour atténuer ou faire disparaître les symptômes du choc post-traumatique. Généralement, le professionnel de la santé s'attaquera à la dépression et aux angoisses liées au trouble proprement dit. Il prescrira alors une médication qui soulagera la personne atteinte.
Thérapies
Dans d'autres cas, les thérapies cognitives et comportementales, individuelles et en groupe, sont également efficaces, notamment chez les victimes d'agression sexuelle. La personne sera alors invitée à revivre l'événement traumatisant, mais en milieu contrôlé.
Le jeu
Freud suggérait même le jeu, dans un contexte clinique, pour atténuer les symptômes et les effets du choc post-traumatique, de même que pour créer une certaine distance émotionnelle entre la victime du choc et l'événement déclencheur de ce dernier.
La confidence
De la même façon, les proches d'une personne qui risque de subir un choc post-traumatique doivent lui prêter une oreille attentive. En lui laissant raconter, et raconter son histoire, des dizaines de fois s'il le faut, l'auditeur attentif l'amènera à relativiser les événements et à mieux surmonter ses impacts potentiels. Encore faut-il que la personne accepte d'en parler et que son vis-à-vis ait la patience de l'écouter.
Le EMDR
Loin de faire l'unanimité dans la communauté scientifique, l'approche EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing), née d'une simple intuition, est de plus en plus utilisée pour traiter le trouble du stress post-traumatique. La technique, toute simple, stimulerait le cerveau afin qu'il diminue l'importance des souvenirs traumatisants. Le thérapeute amène le sujet à replonger dans ses émotions stressantes. Puis, il interrompt l'expérience pour provoquer une stimulation sensorielle différente. Le patient doit alors suivre un objet, souvent les doigts, avec ses yeux, sans tourner la tête.
Ce processus permettrait au cerveau de « recoder » les émotions négatives en diminuant leur intensité. Des études plus poussées tendent à valider cette technique. Une recherche récente a d'ailleurs permis de faire disparaître les symptômes chez 50 patients sur les 88 étudiés. Toutefois, les chercheurs n'ont pas évalué les effets secondaires.
Nous nous trouvons souvent démunis devant les arguments de ceux et celles qui vivent le drame. Donc, si une personne de votre entourage semble aux prises avec un trouble du choc post-traumatique, il serait préférable de l'inviter à consulter. Il vous faudra sans doute revenir à la charge à quelques reprises, ou déployer une bonne dose de patience pour lui venir en aide, dans la mesure de vos capacités.
Henri Michaud, rédacteur Canal Vie
vu et lu : http://www.canalvie.com/sante/articles/le-choc-post-traumatique-7007/
jeudi 20 juin 2013
Je suis une personne non une maladie.....
" Ce que je vous demande c'est d'ouvrir vos esprits, non de croire "
Jiddu Krishnamuti
Qui peut comprendre cette souffrance que j'ai en moi chaque
jour. Seuls les personnes vivant cette maladie peuvent savoir, je l'ai vu, vécu
et compris lors de mon hospitalisation....
Et oui me dire sans cesse que "ça va aller", "qu'il faut du temps", "prendre son
mal en patience" et ceux qui te dise "bouge toi" ou "arrêtes tes médocs, ça ira
mieux" et oui je ne suis qu'une loque qui n'éprouve plus aucune émotions depuis
plusieurs semaines et qui est d'humeur égal chaque jour.
Quelle est belle la vie sous traitement chimique qui te bouffe peut à peut.
J'aimais mes moments maniacs ou au moins la vie était belle, j'aimais,
j'appréciais la vie et donc les personnes qui m'entouraient, j'avais confiance,
j'étais optimiste et il y avait donc réciprocité.
Je n'ai aujourd'hui plus confiance en qui que ce soit,les potes me tournent le dos, la famille je n'en parle pas, elle ne comprends pas et oui le pessimisme me tue à petit feu.
Je ne sais comment dire que j'ai commencé à écrire mon testament, que les idées
morbides me collent à la peau de plus en plus chaque jour et avec qui en parlé,
à qui crié cette souffrance, ce manque d'envie, dire que je suis une coquille
bien vide...quel proche est capable d'entendre mes paroles et les comprendre
sans jugement...qui peut écouter, entendre et comprendre QUI ???
Marre de vivre dans un monde qui n'est pas le mien, marre de ce monde que je ne
comprends pas, cette impression de vivre à la mauvaise époque, celle du profit
et non de l'humanité, un monde dans lequel ou la solidarité serait présente, un
monde ou l'amour et l'amitié auraient un sens.
Et oui mes proches ne me comprennent pas et ne me comprendront jamais !!
Merci bipo !!
Dans tout cela j'ai la chance d'avoir une amie qui je crois me comprends qui est
disponible chaque jour pour tchater avec moi tous les soirs durant environ 1h30
malgré son travail, sa vie de famille, sa fatigue. Elle me tient sur un fil tel
un funambule chaque jour. Comment la remercier de sa compréhension, de son
amitié. Elle m'a déjà sauvé la vie une fois il y a plus de 25 ans et depuis
bientôt 3 ans elle répond présente chaque soir, je lui doit tellement et je n'en
suis pas fière...J'aimerai tant être forte aussi pour elle lorsqu'elle a
besoin...
Je suis certainement bizarre à vos yeux, aussi bien dans mes comportements, dans mes façons d'agir...mais tant mieux car je pense que les gens sans un brin de folie sont ennuyeux.
Je ne suis pas folle, juste différente.
Je ne suis pas étrange, juste différente.
Je ne suis pas parfaite, juste différente.
Mais je suis moi, je ne veux plus me cacher, je veux oser me montrer tel que je suis avec mes différences dans un monde que je ne comprends pas.
L'envie de m'entourer de gens qui me comprennent, de personnes positives qui me tirent vers le haut, qui me voit tel que je suis et sans vouloir me changer.
Je suis comme je suis, ni toi, ni elle, ni lui, juste moi, et si on m'accepte tant mieux, sinon tant pis ...
"Différent, ça ne veut pas dire moins bon, ça veut dire pas pareil !!"
Renaud, 6 ans et demi, Autiste Asperger
Jiddu Krishnamuti
Qui peut comprendre cette souffrance que j'ai en moi chaque
jour. Seuls les personnes vivant cette maladie peuvent savoir, je l'ai vu, vécu
et compris lors de mon hospitalisation....
Et oui me dire sans cesse que "ça va aller", "qu'il faut du temps", "prendre son
mal en patience" et ceux qui te dise "bouge toi" ou "arrêtes tes médocs, ça ira
mieux" et oui je ne suis qu'une loque qui n'éprouve plus aucune émotions depuis
plusieurs semaines et qui est d'humeur égal chaque jour.
Quelle est belle la vie sous traitement chimique qui te bouffe peut à peut.
J'aimais mes moments maniacs ou au moins la vie était belle, j'aimais,
j'appréciais la vie et donc les personnes qui m'entouraient, j'avais confiance,
j'étais optimiste et il y avait donc réciprocité.
Je n'ai aujourd'hui plus confiance en qui que ce soit,les potes me tournent le dos, la famille je n'en parle pas, elle ne comprends pas et oui le pessimisme me tue à petit feu.
Je ne sais comment dire que j'ai commencé à écrire mon testament, que les idées
morbides me collent à la peau de plus en plus chaque jour et avec qui en parlé,
à qui crié cette souffrance, ce manque d'envie, dire que je suis une coquille
bien vide...quel proche est capable d'entendre mes paroles et les comprendre
sans jugement...qui peut écouter, entendre et comprendre QUI ???
Marre de vivre dans un monde qui n'est pas le mien, marre de ce monde que je ne
comprends pas, cette impression de vivre à la mauvaise époque, celle du profit
et non de l'humanité, un monde dans lequel ou la solidarité serait présente, un
monde ou l'amour et l'amitié auraient un sens.
Et oui mes proches ne me comprennent pas et ne me comprendront jamais !!
Merci bipo !!
Dans tout cela j'ai la chance d'avoir une amie qui je crois me comprends qui est
disponible chaque jour pour tchater avec moi tous les soirs durant environ 1h30
malgré son travail, sa vie de famille, sa fatigue. Elle me tient sur un fil tel
un funambule chaque jour. Comment la remercier de sa compréhension, de son
amitié. Elle m'a déjà sauvé la vie une fois il y a plus de 25 ans et depuis
bientôt 3 ans elle répond présente chaque soir, je lui doit tellement et je n'en
suis pas fière...J'aimerai tant être forte aussi pour elle lorsqu'elle a
besoin...
Je suis certainement bizarre à vos yeux, aussi bien dans mes comportements, dans mes façons d'agir...mais tant mieux car je pense que les gens sans un brin de folie sont ennuyeux.
Je ne suis pas folle, juste différente.
Je ne suis pas étrange, juste différente.
Je ne suis pas parfaite, juste différente.
Mais je suis moi, je ne veux plus me cacher, je veux oser me montrer tel que je suis avec mes différences dans un monde que je ne comprends pas.
L'envie de m'entourer de gens qui me comprennent, de personnes positives qui me tirent vers le haut, qui me voit tel que je suis et sans vouloir me changer.
Je suis comme je suis, ni toi, ni elle, ni lui, juste moi, et si on m'accepte tant mieux, sinon tant pis ...
"Différent, ça ne veut pas dire moins bon, ça veut dire pas pareil !!"
Renaud, 6 ans et demi, Autiste Asperger
mercredi 19 juin 2013
Il meurt lentement - Pablo Neruda
Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n'écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd'hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !
dimanche 16 juin 2013
Fêtes des pères
selon wikipédia :
Dans les pays catholiques, on a célébré les pères de famille dès le Moyen Age à la date du 19 mars, jour de la saint Joseph, ce dernier étant le père putatif deJésus. En revanche, il était beaucoup plus difficile de célébrer religieusement les mères, les fêtes dédiées à la Vierge Marie, la mère de Jésus, étant aussi des célébrations en l'honneur de la virginité
Cette date du 19 mars a été conservée depuis dans quelques pays de tradition catholique.
L'une des premières fêtes des pères non religieuses fut créée en 1912 aux Etats-Unis.
J'ai perdu mon papa il y aura 8 ans au mois d'août et il me manque terriblement.
Cette chanson me fait pensé à lui.....
Bonne fête des pères
vendredi 14 juin 2013
mercredi 12 juin 2013
lundi 10 juin 2013
Le Marketing de la Folie
Mise en ligne le 8 avril 2011
« La psychiatrie est probablement la force la plus destructive qui ait affecté la société les soixante dernières années. »
Thomas Szasz, Professeur honoraire en psychiatrie
Thomas Szasz, Professeur honoraire en psychiatrie
http://www.youtube.com/watch?v=-qAfHQq0fBI&feature=player_embedded
Le marché des psychotropes rapporte gros. L'alliance entre la psychiatrie et les firmes pharmaceutiques leur a permis de réaliser plus de 80 milliards de dollars de ventes de psychotropes. Mais les apparences sont trompeuses. Que valent les diagnostics psychiatriques, et jusqu'à quel point ces psychotropes sont-ils sans danger?
Ce documentaire révèle les faits derrière le vernis social d'un marketing habile et soi-disant scientifique qui dissimule une campagne de vente de produits dangereux et parfois fatals. Aux yeux des psychiatres et du DMS, le manuel des diagnostiques psychiatriques, nous sommes tous fous, sans exception.
dimanche 9 juin 2013
Quand...
Quand serais je que je suis arrivée ?
Je suis tout simplement à la recherche d'un sentiment perdu, la certitude que j'avais dans ma jeunesse.
Quand j'avais rencontré l'homme de ma vie et que tout semblait si juste.
La certitude que tout fini toujours bien.
Aujourd'hui je suis une coquille bien vide.
Tous ces médicaments ne font de moi qu'une loque qui attends que chaque jour passe sans que rien ne se passe. Cette étincelle qui brillait de temps en temps en moi c'est bel et bien éteinte depuis de nombreuses semaines.
Tout me semble si compliqué, tout me fait peur, la vie en elle même m'effraie je vis dans un monde qui n'est pas le mien.
Les idées noires deviennent de plus en plus fréquentes, et comment les faire fuir. A quand le grand voyage ??
Un voyage sans savoir où aller...
Je suis tout simplement à la recherche d'un sentiment perdu, la certitude que j'avais dans ma jeunesse.
Quand j'avais rencontré l'homme de ma vie et que tout semblait si juste.
La certitude que tout fini toujours bien.
Aujourd'hui je suis une coquille bien vide.
Tous ces médicaments ne font de moi qu'une loque qui attends que chaque jour passe sans que rien ne se passe. Cette étincelle qui brillait de temps en temps en moi c'est bel et bien éteinte depuis de nombreuses semaines.
Tout me semble si compliqué, tout me fait peur, la vie en elle même m'effraie je vis dans un monde qui n'est pas le mien.
Les idées noires deviennent de plus en plus fréquentes, et comment les faire fuir. A quand le grand voyage ??
Un voyage sans savoir où aller...
Trouble bipolaire: une maladie "à la mode"?
Par Caroline Franc Desages, publié le
La série Homeland, dont la deuxième saison débute ce jeudi
soir sur Canal +, met en scène une héroïne, Carrie Mathison, souffrant
de maniaco-dépression. Ultra médiatisée, cette pathologie ne doit
pourtant pas être prise à la légère, ni vulgarisée.
"On a tendance à voir des bipolaires partout" "On a un peu tendance aujourd'hui à voir des bipolaires partout", confirme Raphaël Giachetti, psychiatre au sein de la clinique d'Aufrery à Toulouse, premier établissement à avoir mis en place un suivi "psycho-éducatif" de ces malades. "Tous les jours ou presque, on m'envoie de supposés maniaco-dépressifs qui n'en sont pas. Pourtant c'est une pathologie qui ne pose aucun doute."
"C'est l'alternance de trois états qui définit cette maladie, explique le psychiatre: la dépression, lourde et caractérisée, l'exaltation, également appelée phase maniaque et la rémission, durant laquelle le malade retrouve un état 'normal'". Autre symptôme, "la rapidité avec laquelle le patient passe d'une phase à une autre. Vous pouvez avoir en face de vous quelqu'un de censé et calme un jour, qui peut subitement changer, être totalement désinhibé, multiplier les projets, déborder d'activité, commettre des actes insensés ou s'enfoncer dans la dépression".
Quant aux causes de cette psychose, elles sont multiples et encore hypothétiques: vulnérabilité biologique, hypersensibilité et traumatisme vécu durant l'enfance. " Les troubles bipolaires n'arrivent pas par hasard, ils surviennent en général de la combinaison de ces trois facteurs".
"Je n'étais pas folle"
Cette maladie, Claire, 40 ans, la connaît bien. Depuis près de 25 ans, elle vit avec, pour le meilleur et pour le pire. Elle en situe les premières manifestations à l'adolescence, "sans que personne ne mette vraiment le doigt dessus": "A 15 ans, avoir des moments de mélancolie ou d'excitation est somme toutes assez courant. Là où les réels problèmes ont commencé, c'est lorsque je me suis mise à travailler et à gagner un peu d'argent. En phase euphorique, je dépense sans compter, ce que je possède et ce que je ne possède pas. Mon plus gros achat? Une voiture neuve, après avoir réussi à contracter quatre crédits auprès de quatre banques en deux jours ".
"Mettre un nom sur ce qui m'arrive"
A la suite d'un énorme épisode dépressif entrainant une hospitalisation, Claire est enfin diagnostiquée, dix ans après les premiers symptômes. "J'ai été soulagée. Je n'étais pas folle, je n'étais pas coupable de tout cela, il y avait une raison à mon comportement", raconte-t-elle. Mais l'officialisation du trouble est à double tranchant: "Certes, je peux désormais mettre un nom sur ce qui m'arrive. Mais l'entourage aussi. Et nombreux sont ceux qui prennent la fuite ou mettent tous mes actes sur le compte de ma maladie. Quand on est bipolaire, même sous traitement, même en phase de rémission, la moindre décision est mise en doute. Récemment, je me suis offert un voyage avec mes enfants. J'en avais les moyens et je ne pense pas être la seule mère décidant de partir une semaine au soleil. Pourtant, tout le monde s'est posé la question: est-ce que je faisais une nouvelle crise?".
Trouver le bon traitement
Surtout, ajoute Claire, avant de trouver le bon traitement, celui qui "ne vous fait pas prendre 30 kilos ni ne vous transforme en légume", il faut du temps. "Cela m'a pris plusieurs années avant de me sentir enfin mieux".
Un constat que confirme Raphael Giachetti: "Ce n'est pas comme une infection pour laquelle on dispose de marqueurs biologiques et dont on connait l'antibiotique qui la fera disparaître. En neuro-sciences, on avance pas à pas, sur la base de notre expérience, de notre ressenti et du malade. Parce que cette maladie est singulière, qu'elle n'a pas la même intensité chez chaque patient et qu'elle ne peut être combattue qu'avec la combinaison de traitements médicamenteux et d'un suivi psychologique adapté".
Cela étant dit, affirme-t-il, "beaucoup de personnes atteintes de troubles bipolaires peuvent, à condition d'être suivies, mener une vie normale, travailler, avoir des enfants, etc". "C'est aussi une maladie évolutive, dont le diagnostic ne vaut qu'à l'instant où il est posé. On peut voir une psychose maniaco-dépressive s'atténuer dans le temps ou au contraire passer d'une forme légère à plus sévère. La plasticité du cerveau est sans fin et rien n'est figé".
Pour Claire, la vie a repris des couleurs depuis plus d'un an maintenant. Mais pas question pour l'instant de reprendre une activité professionnelle: "Socialement, cette maladie vous isole. A force d'être hospitalisée lors de mes états dépressifs, j'ai fini par perdre la confiance de mon employeur, mais aussi de mes collègues, et j'ai fini par être mise en incapacité de travail. Mais j'ai des envies et des projets et je me sens à nouveau capable de vivre, à une vitesse raisonnable !
mercredi 5 juin 2013
Citations sur l'Amitié....Quotes about friendship...
N'oubliez pas le 8 juin c'est la fête des Ami(e)s !!!
L'amitié est nécessaire à chacun. Le propre de l'amitié est d'être un sentiment d'élection, c'est à dire qu'il nait en dehors de toute obligation mais se nourrit des affinités et du vécu partagé.
L'amitié est un thème récurrent pour les écrivains, humoristes et scénaristes. Rien d'étonnant puisque les relations d'amitié - et toutes les situations compliquées qui en découlent - occupent une grande place dans notre vie affective.
Dites à votre Ami(e) que vous l'aimez !!!!
"La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié."
Démophile
"L'idéal de l'amitié c'est de se sentir un et de rester deux."
Anne Sophie Swetchine
"Il ne vaut pas la peine de vivre si l'on n'a pas un bon ami."
Démocrite
"Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami."
Voltaire
"Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort."
André Malraux
"Un ami, c'est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui."
Jules Renard
"Plus l'ami est ancien, meilleur il est."
Plaute
"Il n'y a pas de plaisir comparable à celui de rencontrer un vieil ami, excepté peut-être celui d'en faire un nouveau."
Rudyard Kipling
"Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose :
Rien n'est plus commun que ce nom,
Rien n'est plus rare que la chose."
Jean de La Fontaine
"Le rôle d'un ami, c'est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l'erreur puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison."
Mark Twain
"Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : "Parce que c'était lui, parce que c'était moi."
Montaigne (qui parlait de son ami Étienne de La Boétie)
"Un ami, rien qu'un ami, c'est aussi précieux qu'une vie."
Georges Bernanos
"Un véritable ami est le plus grand de tous les biens et celui de tous qu'on songe le moins à acquérir."
François de la Rochefoucauld
"Le bonheur d'un ami nous enchante. Il nous ajoute. Il n'ôte rien. Si l'amitié s'en offense, elle n'est pas."
Jean Cocteau
L'amitié est nécessaire à chacun. Le propre de l'amitié est d'être un sentiment d'élection, c'est à dire qu'il nait en dehors de toute obligation mais se nourrit des affinités et du vécu partagé.
L'amitié est un thème récurrent pour les écrivains, humoristes et scénaristes. Rien d'étonnant puisque les relations d'amitié - et toutes les situations compliquées qui en découlent - occupent une grande place dans notre vie affective.
Dites à votre Ami(e) que vous l'aimez !!!!
"La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié."
Démophile
"L'idéal de l'amitié c'est de se sentir un et de rester deux."
Anne Sophie Swetchine
"Il ne vaut pas la peine de vivre si l'on n'a pas un bon ami."
Démocrite
"Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami."
Voltaire
"Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort."
André Malraux
"Un ami, c'est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui."
Jules Renard
"Plus l'ami est ancien, meilleur il est."
Plaute
"Il n'y a pas de plaisir comparable à celui de rencontrer un vieil ami, excepté peut-être celui d'en faire un nouveau."
Rudyard Kipling
"Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose :
Rien n'est plus commun que ce nom,
Rien n'est plus rare que la chose."
Jean de La Fontaine
"Le rôle d'un ami, c'est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l'erreur puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison."
Mark Twain
"Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : "Parce que c'était lui, parce que c'était moi."
Montaigne (qui parlait de son ami Étienne de La Boétie)
"Un ami, rien qu'un ami, c'est aussi précieux qu'une vie."
Georges Bernanos
"Un véritable ami est le plus grand de tous les biens et celui de tous qu'on songe le moins à acquérir."
François de la Rochefoucauld
"Le bonheur d'un ami nous enchante. Il nous ajoute. Il n'ôte rien. Si l'amitié s'en offense, elle n'est pas."
Jean Cocteau
jtm ma puce....
mardi 4 juin 2013
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