Il
est des moments où le moral est au plus bas, où le découragement prend
le pas sur l’enthousiasme. Penser positif peut être alors d’un grand
secours, non pas pour poser béatement un déni sur les obstacles mais
plutôt pour que ceux-ci, par la magie d’un regard différent, viennent
en quelque sorte alimenter notre persévérance.
Ne rien
lâcher sur son désir est une induction psychanalytique qui s’enracine
dans des siècles de pensée positive. De la philosophie d’Épicure à la
méthode Coué, en passant par la sophrologie, nous pouvons puiser,
chaque fois que nous nous sentons déstabilisés, des trésors d’astuces
pour tenir le coup…
Une possibilité à disposition
S’il y a une chose que personne ne peut nous prendre et qui ne nous abandonnera jamais, c’est bien notre imagination. Aussi pouvons-nous choisir de nous laisser passivement envahir par des pensées négatives ou, au contraire, décider une fois pour toutes que nous pouvons influer sur la représentation que nous nous faisons d’une situation. Le yoga millénaire savait déjà que tout ici-bas possède son corollaire inversé. Ainsi, quand la défaite se manifeste, c’est bien que la victoire n’est pas loin. La mort n’existe qu’opposée à la vie. Dès lors, penser positif c’est choisir définitivement son camp. Il s’agit d’opter pour l’optimisme, tout en sachant que les limites existent et que l’imagination est là pour nous aider à les repousser. L’exemple de personnes emprisonnées pendant des années, tel Nelson Mandela, nous prouve bien que l’esprit est une possibilité toujours offerte…
S’il y a une chose que personne ne peut nous prendre et qui ne nous abandonnera jamais, c’est bien notre imagination. Aussi pouvons-nous choisir de nous laisser passivement envahir par des pensées négatives ou, au contraire, décider une fois pour toutes que nous pouvons influer sur la représentation que nous nous faisons d’une situation. Le yoga millénaire savait déjà que tout ici-bas possède son corollaire inversé. Ainsi, quand la défaite se manifeste, c’est bien que la victoire n’est pas loin. La mort n’existe qu’opposée à la vie. Dès lors, penser positif c’est choisir définitivement son camp. Il s’agit d’opter pour l’optimisme, tout en sachant que les limites existent et que l’imagination est là pour nous aider à les repousser. L’exemple de personnes emprisonnées pendant des années, tel Nelson Mandela, nous prouve bien que l’esprit est une possibilité toujours offerte…
Croire en soi
Pour les croyants, cette attitude de confiance s’appelle la foi. Mais il n’est pas utile d’adhérer à une religion pour bénéficier de cette énergie positive qui peut soulever les montagnes. Le docteur Joseph Murphy donne une explication très simple de ce processus dans son étonnant ouvrage « Exploitez la puissance de votre subconscient » : La loi de la vie est la loi de la croyance. Une croyance est une pensée entretenue par votre esprit conscient. Ne croyez pas que quelque chose puisse vous nuire. Croyez en la puissance de votre subconscient pour vous guérir, vous inspirer, vous fortifier et pour vous enrichir. Il vous est donné selon votre croyance… Ainsi, Christophe Maé, le célèbre chanteur français, lors d’une interview donnée à Signes & sens magazine, répondait à une question concernant le découragement, en ces termes : Je m’en suis sorti grâce à mon tempérament positif et puis j’ai toujours été conscient que je pouvais y arriver. J’ai toujours été sûr de moi sans pour cela me leurrer. Au fond de moi, la certitude de pouvoir y arriver a fait que je m’en suis donné les moyens. Dès que je pouvais réaliser des maquettes, je le faisais. J’allais les présenter aux maisons de disques sans vraiment baisser les bras. Jusqu’au jour de la rencontre. Mais ce qui m’a le plus réconforté, c’était de croire en moi et de passer à l’acte en écrivant mes propres textes, sans attendre qu’ils viennent de quelqu’un d’autre… On voit bien que l’attitude positive nécessite d’avoir foi en soi contre vents et marées. Et cela est à la portée de tous… Le secret de la réussite résidant en cette prise de conscience que les bons passages à l’acte suivent…
Pour les croyants, cette attitude de confiance s’appelle la foi. Mais il n’est pas utile d’adhérer à une religion pour bénéficier de cette énergie positive qui peut soulever les montagnes. Le docteur Joseph Murphy donne une explication très simple de ce processus dans son étonnant ouvrage « Exploitez la puissance de votre subconscient » : La loi de la vie est la loi de la croyance. Une croyance est une pensée entretenue par votre esprit conscient. Ne croyez pas que quelque chose puisse vous nuire. Croyez en la puissance de votre subconscient pour vous guérir, vous inspirer, vous fortifier et pour vous enrichir. Il vous est donné selon votre croyance… Ainsi, Christophe Maé, le célèbre chanteur français, lors d’une interview donnée à Signes & sens magazine, répondait à une question concernant le découragement, en ces termes : Je m’en suis sorti grâce à mon tempérament positif et puis j’ai toujours été conscient que je pouvais y arriver. J’ai toujours été sûr de moi sans pour cela me leurrer. Au fond de moi, la certitude de pouvoir y arriver a fait que je m’en suis donné les moyens. Dès que je pouvais réaliser des maquettes, je le faisais. J’allais les présenter aux maisons de disques sans vraiment baisser les bras. Jusqu’au jour de la rencontre. Mais ce qui m’a le plus réconforté, c’était de croire en moi et de passer à l’acte en écrivant mes propres textes, sans attendre qu’ils viennent de quelqu’un d’autre… On voit bien que l’attitude positive nécessite d’avoir foi en soi contre vents et marées. Et cela est à la portée de tous… Le secret de la réussite résidant en cette prise de conscience que les bons passages à l’acte suivent…
Positiver ce qui nous dérange !
Lorsque Claude François essuyait une déception sentimentale, il en faisait un tube. C’est le cas de « Comme d’habitude », composée à la suite de sa rupture avec France Gall ou « Le téléphone pleure »… Jacques Brel aurait-il écrit « Ne me quitte pas » s’il n’avait pas expérimenté la douleur de l’abandon ?
La psychanalyse rejoint la pensée positive lorsqu’elle parle de sublimation.
Sigmund Freud, le maître de cette discipline, était persuadé que nous avons tous en nous cette possibilité. C’est bien le sens de la cure psychanalytique qui consiste, au bout du compte (ou du conte ?), à faire quelque chose de nos souffrances conscientes et inconscientes. Il n’est qu’à lire l’excellent témoignage de Pierre Rey, dans son ouvrage
« Une saison chez Lacan » publié aux Éditions Points, pour comprendre qu’il n’est question que de positiver ce qui nous dérange, ce qui reste in fine la seule manière de tenir le coup et de s’en sortir !
Lorsque Claude François essuyait une déception sentimentale, il en faisait un tube. C’est le cas de « Comme d’habitude », composée à la suite de sa rupture avec France Gall ou « Le téléphone pleure »… Jacques Brel aurait-il écrit « Ne me quitte pas » s’il n’avait pas expérimenté la douleur de l’abandon ?
La psychanalyse rejoint la pensée positive lorsqu’elle parle de sublimation.
Sigmund Freud, le maître de cette discipline, était persuadé que nous avons tous en nous cette possibilité. C’est bien le sens de la cure psychanalytique qui consiste, au bout du compte (ou du conte ?), à faire quelque chose de nos souffrances conscientes et inconscientes. Il n’est qu’à lire l’excellent témoignage de Pierre Rey, dans son ouvrage
« Une saison chez Lacan » publié aux Éditions Points, pour comprendre qu’il n’est question que de positiver ce qui nous dérange, ce qui reste in fine la seule manière de tenir le coup et de s’en sortir !
François Bardy
Optimiser sa vie requiert une déprogrammation de nos
imaginations négatives et autres procès d’intention. Ce regard neuf
engendrera toujours plus de paroles de paix qui, à leur tour, seront
véhiculées par d’autres que soi. Il s’agit-là d’une forme positive,
superbe impulsion pour aller de l’avant ! Amertume et rancœurs
constituent les fléaux de l’humanité. Quoi qu’il en soit, ce nouveau
contrat que l’on passe avec soi-même empêche de redouter le présent et
l’avenir. L’épanouissement sert la créativité car l’optimisme est
créateur. À l’inverse, comme le soulignent les Écritures Saintes, ce
que je redoute m’arrive...
Je terminerais par cette phrase que mon amie me conseille à se répéter, à coller sur le frigidaire... :
JE VAIS BIEN, TOUT VA BIEN !!!!!
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