On n'est jamais si malheureux qu'on croit, ni si heureux qu'on avait espéré,
mais je profite de ce petit message pour vous souhaiter tout le bonheur du monde.
Pourquoi ce journal intime ?
Un besoin d'écrire tout simplement ? Aligner les mots et maux comme une thérapie ?
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie
A maintes reprises j'ai cherché en vain des blogs parlant de le bipolarité et jamais je ne m'y suis retrouvée.
Je désire un blog simple où chaque personnes malades ou non puissent s'exprimer librement.
N'hésiter pas à m'envoyer vos textes, poésies...je les publierais, avec votre consentement bien sur.
Mon but n'est pas d'avoir plusieurs lecteurs mais si je peux aider, soutenir une seule personne et partager avec elle ce sera pour moi partie gagnée !!
Nathalie
mardi 30 avril 2013
1er mai et Journée de 8 heures et Fête du Travail...May 1 and 8-hour day and Labor Day...
Le 1er mai 1886, aux États-Unis, une très forte pression des
syndicats sur le patronat et le gouvernement permet à environ 200.000
travailleurs d'obtenir la journée de huit heures.
En souvenir de ce succès, les syndicats européens, quelques années plus tard, instituent une «journée internationale des travailleurs» ou «Fête des travailleurs» destinée à se renouveler tous les 1er mai. Cette journée est aujourd'hui plus volontiers appelée
«Fête du Travail», bien que l'expression prête à confusion...
Au IVe congrès de l'American Federation of Labor, en 1884,
les principaux syndicats ouvriers des États-Unis s'étaient donné deux
ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à
huit heures. Ils avaient choisi de débuter leur action un 1er mai parce
que beaucoup d'entreprises américaines entamaient ce jour-là leur année
comptable.
Arrive le 1er mai 1886. Un grand nombre de travailleurs obtiennent immédiatement satisfaction. Mais d'autres, moins chanceux, au nombre d'environ 340.000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Le 3 mai, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester, à Chicago. Une marche de protestation a lieu le lendemain et dans la soirée, tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C'est alors qu'une bombe explose devant les forces de l'ordre. Elle fait une quinzaine de morts dans les rangs de la police.
Trois syndicalistes anarchistes sont jugés et condamnés à la prison à perpétuité. Cinq autres sont pendus le 11 novembre 1886 malgré des preuves incertaines (ils seront réhabilités plusieurs années après).
Trois ans après le drame de Chicago, la IIe Internationale socialiste
réunit à Paris son deuxième congrès. Celui-ci se tient au 42, rue
Rochechouart, salle des Fantaisies parisiennes, pendant l'Exposition
universelle qui commémore le centenaire de la Révolution française.
Les congressistes se donnent pour objectif la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé), sachant que jusque-là, il était habituel de travailler dix ou douze heures par jour (en 1848, en France, un décret réduisant à 10 heures la journée de travail n'a pas résisté plus de quelques mois à la pression patronale).
Le 20 juin 1889, sur une proposition de Raymond Lavigne, ils décident qu'il sera «organisé une grande manifestation à date fixe de manière que dans tous les pays et dans toutes les villes à la fois, le même jour convenu, les travailleurs mettent les pouvoirs publics en demeure de réduire légalement à huit heures la journée de travail et d'appliquer les autres résolutions du congrès. Attendu qu'une semblable manifestation a été déjà décidée pour le 1er mai 1890 par l'AFL, dans son congrès de décembre 1888 tenu à Saint Louis, cette date est adoptée pour la manifestation.»
Dès l'année suivante, le 1er mai 1890, des ouvriers font grève et défilent, un triangle rouge à la boutonnière pour symboliser le partage de la journée en trois (travail, sommeil, loisir).
Le 1er mai 1891, à Fourmies, une petite ville du nord de la France, la manifestation rituelle tourne au drame. La troupe équipée des nouveaux fusils Lebel et Chassepot tire à bout portant sur la foule pacifique des ouvriers. Elle fait dix morts dont 8 de moins de 21 ans. L'une des victimes, l'ouvrière Marie Blondeau, qui défilait habillée de blanc et les bras couverts de fleurs d'aubépine, devient le symbole de cette journée.
Avec le drame de Fourmies, le 1er mai s'enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens.
Quelques mois plus tard, à Bruxelles, l'Internationale socialiste renouvelle le caractère revendicatif et international du 1er mai. Elle est relayée en France par la Confédération Générale du Travail, un syndicat fondé le 23 septembre 1895 à Limoges.
L'horizon paraît s'éclaircir après la Première Guerre mondiale. Le traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919 fixe dans son article 247 «l'adoption de la journée de huit heures ou de la semaine de quarante-huit heures comme but à atteindre partout où elle n'a pas encore été obtenue».
Les manifestations rituelles du 1er mai ne se cantonnent plus dès lors à la revendication de la journée de 8 heures. Elles deviennent l'occasion de revendications plus diverses. La Russie soviétique, sous l'autorité de Lénine, décide en 1920 de faire du 1er mai une journée chômée. Cette initiative est peu à peu imitée par d'autres pays... L'Allemagne nazie va encore plus loin : Hitler, pour se rallier le monde ouvrier, fait, dès 1933, du 1er mai une journée chômée et payée. La France l'imitera sous l'Occupation, en 1941.
En France, dès 1890, les manifestants du 1er mai ont pris l'habitude
de défiler en portant à la boutonnière un triangle rouge. Celui-ci est
quelques années plus tard remplacé par la fleur d'églantine. En 1907, à
Paris, le muguet, symbole du printemps en Île-de-France, remplace cette
dernière. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban
rouge.
Le 23 avril 1919, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.
Les manifestations du 1er mai 1936 prennent une résonance particulière car elles surviennent deux jours avant le deuxième tour des élections législatives qui vont consacrer la victoire du Front populaire et porter à la tête du gouvernement français le leader socialiste Léon Blum.
C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la «Fête du Travail et de la Concorde sociale» et devient chômé. Cette mesure est destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy. Son initiative revient à René Belin. Il s'agit d'un ancien dirigeant de l'aile socialiste de la CGT (Confédération Générale du Travail) qui est devenu secrétaire d'État au Travail dans le gouvernement du maréchal Pétain.
À cette occasion, la radio officielle ne manque pas de préciser que le 1er mai coïncide avec la fête du saint patron du Maréchal, Saint Philippe (aujourd'hui, ce dernier est fêté le 3 mai) !
Le 30 avril 1947, la mesure est reprise par le gouvernement issu de la Libération qui fait du 1er mai un jour férié et payé... mais pas pour autant une fête légale. Autrement dit, le 1er mai n'est toujours pas désigné officiellement comme Fête du Travail. Cette appellation n'est que coutumière...
En souvenir de ce succès, les syndicats européens, quelques années plus tard, instituent une «journée internationale des travailleurs» ou «Fête des travailleurs» destinée à se renouveler tous les 1er mai. Cette journée est aujourd'hui plus volontiers appelée
«Fête du Travail», bien que l'expression prête à confusion...
André Larané
Une revendication nationale
Arrive le 1er mai 1886. Un grand nombre de travailleurs obtiennent immédiatement satisfaction. Mais d'autres, moins chanceux, au nombre d'environ 340.000, doivent faire grève pour forcer leur employeur à céder.
Le 3 mai, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester, à Chicago. Une marche de protestation a lieu le lendemain et dans la soirée, tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C'est alors qu'une bombe explose devant les forces de l'ordre. Elle fait une quinzaine de morts dans les rangs de la police.
Trois syndicalistes anarchistes sont jugés et condamnés à la prison à perpétuité. Cinq autres sont pendus le 11 novembre 1886 malgré des preuves incertaines (ils seront réhabilités plusieurs années après).
Stèle vengeresse
Sur une stèle du cimetière de Waldheim, à Chicago, sont inscrites les dernières paroles de l'un des condamnés, Augustin Spies : «Le jour viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd'hui»Manifester pour la journée de 8 heures
Les congressistes se donnent pour objectif la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé), sachant que jusque-là, il était habituel de travailler dix ou douze heures par jour (en 1848, en France, un décret réduisant à 10 heures la journée de travail n'a pas résisté plus de quelques mois à la pression patronale).
Le 20 juin 1889, sur une proposition de Raymond Lavigne, ils décident qu'il sera «organisé une grande manifestation à date fixe de manière que dans tous les pays et dans toutes les villes à la fois, le même jour convenu, les travailleurs mettent les pouvoirs publics en demeure de réduire légalement à huit heures la journée de travail et d'appliquer les autres résolutions du congrès. Attendu qu'une semblable manifestation a été déjà décidée pour le 1er mai 1890 par l'AFL, dans son congrès de décembre 1888 tenu à Saint Louis, cette date est adoptée pour la manifestation.»
Dès l'année suivante, le 1er mai 1890, des ouvriers font grève et défilent, un triangle rouge à la boutonnière pour symboliser le partage de la journée en trois (travail, sommeil, loisir).
Le 1er mai 1891, à Fourmies, une petite ville du nord de la France, la manifestation rituelle tourne au drame. La troupe équipée des nouveaux fusils Lebel et Chassepot tire à bout portant sur la foule pacifique des ouvriers. Elle fait dix morts dont 8 de moins de 21 ans. L'une des victimes, l'ouvrière Marie Blondeau, qui défilait habillée de blanc et les bras couverts de fleurs d'aubépine, devient le symbole de cette journée.
Avec le drame de Fourmies, le 1er mai s'enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens.
Quelques mois plus tard, à Bruxelles, l'Internationale socialiste renouvelle le caractère revendicatif et international du 1er mai. Elle est relayée en France par la Confédération Générale du Travail, un syndicat fondé le 23 septembre 1895 à Limoges.
L'horizon paraît s'éclaircir après la Première Guerre mondiale. Le traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919 fixe dans son article 247 «l'adoption de la journée de huit heures ou de la semaine de quarante-huit heures comme but à atteindre partout où elle n'a pas encore été obtenue».
Les manifestations rituelles du 1er mai ne se cantonnent plus dès lors à la revendication de la journée de 8 heures. Elles deviennent l'occasion de revendications plus diverses. La Russie soviétique, sous l'autorité de Lénine, décide en 1920 de faire du 1er mai une journée chômée. Cette initiative est peu à peu imitée par d'autres pays... L'Allemagne nazie va encore plus loin : Hitler, pour se rallier le monde ouvrier, fait, dès 1933, du 1er mai une journée chômée et payée. La France l'imitera sous l'Occupation, en 1941.
Le 1er mai en France
Le 23 avril 1919, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.
Les manifestations du 1er mai 1936 prennent une résonance particulière car elles surviennent deux jours avant le deuxième tour des élections législatives qui vont consacrer la victoire du Front populaire et porter à la tête du gouvernement français le leader socialiste Léon Blum.
C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la «Fête du Travail et de la Concorde sociale» et devient chômé. Cette mesure est destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy. Son initiative revient à René Belin. Il s'agit d'un ancien dirigeant de l'aile socialiste de la CGT (Confédération Générale du Travail) qui est devenu secrétaire d'État au Travail dans le gouvernement du maréchal Pétain.
À cette occasion, la radio officielle ne manque pas de préciser que le 1er mai coïncide avec la fête du saint patron du Maréchal, Saint Philippe (aujourd'hui, ce dernier est fêté le 3 mai) !
Le 30 avril 1947, la mesure est reprise par le gouvernement issu de la Libération qui fait du 1er mai un jour férié et payé... mais pas pour autant une fête légale. Autrement dit, le 1er mai n'est toujours pas désigné officiellement comme Fête du Travail. Cette appellation n'est que coutumière...
samedi 27 avril 2013
Association d'aide aux victimes de l'inceste et des agressions sexuelles et viols...Association for victims of incest and sexual assault and rape...
http://www.vivresoleilrenaitre.fr/
La loi relative au harcèlement sexuel a été définitivement adoptée par le Parlement et est parue au Journal officiel du 7 août 2012. Elle apporte une protection renforcée des victimes, une définition plus précise du délit et une sécurité juridique.
Afin de combler le vide juridique laissé par la décision du
Conseil constitutionnel du 4 mai 2012, une loi rétablissant le délit de
harcèlement sexuel a été adoptée par le Parlement.
Elle définit de façon très précise le harcèlement sexuel.
« Le harcèlement sexuel est le fait d’imposer à une personne, de façon
répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui soit
portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou
humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile
ou offensante », indique la loi.
De plus, « est assimilé au harcèlement
sexuel le fait, même non répété, d’user de toute forme de pression
grave dans le but réel ou apparent d’obtenir un acte de nature sexuelle,
que celui-ci soit recherché au profit de l’auteur des faits ou au
profit d’un tiers.
Les peines encourues sont plus lourdes que celles prévues
par le texte initial. Le harcèlement sexuel répété et même non répété
est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. La
peine peut atteindre trois ans et 45 000 euros d’amende dans certains
cas : lorsque les faits sont commis sur un mineur de quinze ans ou sur
une personne vulnérable notamment.
Harcèlement sexuel sur le lieu de travail
Le texte précise que, dans le cadre du travail, « aucun
salarié, aucune personne en formation ou en stage […] ne peut être
sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire […]
pour avoir subi ou refusé de subir des faits de harcèlement sexuel ».
Les délégués du personnel et le médecin du travail pourront
intervenir auprès de la direction. L’employeur doit également prendre
toutes les dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de
harcèlement sexuel. A noter que cette loi s’applique également à la
fonction publique.
Najat Vallaud-Belkacem a rappelé que 2 % des femmes sont
victimes de harcèlement sur leur lieu de travail, soit 300 000 femmes
par an, et que 1 000 cas seulement sont portés devant les tribunaux.
Enfin, la loi prévoit que le harcèlement moral sera désormais réprimé de la même peine que le harcèlement sexuel.
« La mise en œuvre de la loi sera accompagnée, pour en
préciser les modalités d’application, par une circulaire pénale dans les
jours qui viennent et par une campagne d’information et de
sensibilisation », souligne le ministère des Droits des femmes.
[source gourvernement.fr]
A toi ma puce, qui m'a convaincue pour cette hospitalisation de 5 semaines...To you my friend, who convinced me to this hospital five weeks ..
Le 18 mars un appel téléphonique que
j'attendais depuis presque 2 mois, La Clinique psychiatique de Ker
Yonnec dans l'Yonne.
S. qui était à mes côtés semblait plus
désespérée, plus stressée que moi lorsque je lui ai dit :
« il faut que j'y sois pour
demain 15h00 ».
Je joinds donc la société
d'ambulances & taxis....RDV pris pour le départ demain à midi.
Une seule chose me vient à l'esprit,
aller acheter des bières, cannabis j'en ai encore plus qu'il ne m'en
faut pour la soirée et demain matin, en me disant ce sera
certainement la dernière fois.
Un moment de partage avec S. devant
quelques verres avant de rejoindre J.M. pour fumer et
faire l'amour comme si c'était là aussi la dernière fois.
Je rentre ensuite à la maison et finis
les quelques bières qu'il me reste.
Oui il m'était facile de trouver une
personne pour l'alcool, une autre pour la drogue pour enfin finir seule jusqu'à
m'endormir dans la canapé, trois mois que je n'allais plus me coucher
dans ma chambre.
Combien de fois suis je tombée ? Combien
de fois me suis je endormie devant la TV, toutes lumières
allumées ??? combien de fois....
Voilà à quoi se résumait ma
vie !!!!!!
Je désirais donc être hospitalisée, non
seulement pour me soigner, trouver le traitement qui stabilisera les
troubles bipolaires et aussi pour cesser toutes addictions qui je le
savais me menait droit à une descente aux enfers déjà vécue.
Je ne peux vous dire si cette clinique
est bien, à chacun d'en faire son opinion.
En ce qui me concerne :
les psychiatres sont à notre
disposition 7/7 , nous les rencontrons chaque matins.
Quand aux psychologues (au nombre de 3)
restent presque inaccessibles et surchargés de boulot, entre
entretiens particuliers et groupes de paroles.
Les infirmières et aides soignantes
toujours disponibles
Une esthéticienne très gentille
Deux éducateurs sportifs très sympathiques
Une esthéticienne très gentille
Deux éducateurs sportifs très sympathiques
Deux ergothérapeutes, dont là je ne
peux poser de mots tellement leurs regards, leurs ignorances font
mal.
Notre petite coiffeuse qui ne fait pas ce métier pour rien....
Notre petite coiffeuse qui ne fait pas ce métier pour rien....
Comment vous raconter cinq semaines en
quelques lignes ??!!
Aucun regrets de m'être fait
hospitalisée, j'y ai appris que je pouvais me déshiniber sans
substances et rire tout de même, avec une grande différence qui me
semble importante, je suis capable de me souvenir, de maîtriser
toutes situations
J'y ai rencontré des personnes
merveilleuses avec qui j'ai gardé le contact, comme Séverine dont
je souhaite vous faire part du dernier message reçu :
Cc ma belle
Je suis rentrée hier chez moi avec
ma mère. Les transports en commun, le bruit et les incivilités
tout cela me stress....
Ma mère ne me lâche pas d'une semelle. Pas évident à géré...
J'ai revu V. mercredi. Il maintient mon traitement. Vraiment très sympa ce Psy.
Ce midi je suis allée déjeuner avec mes collègues, enfin seule, cela m'a fait bcp de bien.
tout cela me stress....
Ma mère ne me lâche pas d'une semelle. Pas évident à géré...
J'ai revu V. mercredi. Il maintient mon traitement. Vraiment très sympa ce Psy.
Ce midi je suis allée déjeuner avec mes collègues, enfin seule, cela m'a fait bcp de bien.
Virée shopping avec ma mère cette
après-midi. Ça fait du bien même si tout ce bruit et piétinement
m'ont vanné !
Demain je vais m'inscrire au club de sport. J'ai aussi rd-vs chez le médecin pr qu'elle me prescrive un bilan sanguin et une nutritionniste car je veux perdre du poids.
Demain je vais m'inscrire au club de sport. J'ai aussi rd-vs chez le médecin pr qu'elle me prescrive un bilan sanguin et une nutritionniste car je veux perdre du poids.
Samedi avec ma mère ns allons au
théâtre voir « 10 ans de mariage ».
Dimanche je retourne chez mon père.
Il me ramènera chez moi jeudi prochain et je reprend le taf le 6
mai.
Je dois passé une visite médicale
pr voir si je suis apte!
Je t'appelle dès que j'ai un moment ms il ne se passe pas un jour sans que je pense à toi.
Bon retour dans la vrai vie. Accroche toi et surtt ne déconne pas et prend bien soin de toi et prend bien ton traitement.
Énormes gros bisous
Je t'appelle dès que j'ai un moment ms il ne se passe pas un jour sans que je pense à toi.
Bon retour dans la vrai vie. Accroche toi et surtt ne déconne pas et prend bien soin de toi et prend bien ton traitement.
Énormes gros bisous
Ce message parmi
tant d'autre m'aide à vouloir aller de l'avant, il est rempli de
sympathie et me ramène à de beaux souvenirs, des confidences, devant
une tisane et une dernière cigarette avant le coucher.
Nous nous soutenons, je pense, moralement les uns, les autres.
Nous nous soutenons, je pense, moralement les uns, les autres.
Il n'y a pas de
jugement, malgré que chacun de nous ai une expérience
différente.
Comme me le dit mon amie, il faut avoir vécu la même chose pour pouvoir admettre l'autre !!
Comme me le dit mon amie, il faut avoir vécu la même chose pour pouvoir admettre l'autre !!
Ce qui est vrai,
même si les psy vous aide à ouvrir les yeux, à panser vos
blessures il n'y a rien de tel qu'une personne lambda qui ressent les
mêmes émotions, le même passé, pour vous comprendre réellement.
A vous : Jeanne, Séverine,
Michaël...
et plus particulièrement à toi mon amie, ma soeur sans qui je n'aurais fait ce pas !
et plus particulièrement à toi mon amie, ma soeur sans qui je n'aurais fait ce pas !
Céline Dion "Hymne à l'Amitié"
vendredi 26 avril 2013
Le stress......
Le stress peut atteindre toute
personne, épisodiquement ou parfois quotidiennement
Le stress peut atteindre toute
personne, épisodiquement ou parfois quotidiennement devenant un
véritable handicap dans la vie quotidienne.
Le stress correspond à un ensemble
de réactions de l'organisme qui apparaissent lorsque l'organisme est
soumis à un changement de situation brutale.
Le corps réagit contre ce qu'il
ressent comme une agression ou une pression.
Selon les travaux de
Hans Selye datant de 1975, il existe 3 phases dans la réaction
au stress :
La réaction d'alarme
- La réaction d'alarme est la première phase du processus de stress face à l'agression, au cours de laquelle apparaissent les premières manifestations : respiration courte et accélérée, augmentation des battements cardiaque, augmentation de la tension artérielle, boule à la gorge ou à l'estomac, anxiété, angoisse...
- Ces réactions sont provoquées par la libération d'hormones
, comme l'adrénaline dont le délai d'action est de quelques
minutes et dont la fonction est de préparer le corps à une action
rapide.
La résistance : l'adaptation
- La résistance correspond à la seconde phase du processus d'adaptation au stress.
- Lors du prolongement de l'agression, la réaction d'adaptation provoque la mise en place d'un processus de résistance face à la situation d'agression.
- Cette étape prolongeant la première phase va ainsi permettre de préserver l'organisme de l'épuisement en compensant les dépenses énergétiques occasionnées pour faire face au stress.
- D'autres hormones, les glucorticoides, sont ainsi sécrétées au cours de cette étape permettant une augmentation du taux de la glycémie nécessaire à l'organisme, au coeur, au cerveau et aux muscles.
- Au cours de cette phase, les sujets atteints adoptent des
conduites différentes : certains se préparent à affronter le
stress, d'autres continuent à vivre comme s'il n'existait pas en
faisant la politique de « l'autruche » ou alors évitent les
situations pouvant le provoquer
L'épuisement
- L'organisme, débordé et sollicité en permanence par la situation de stress qui se prolonge et s'intensifie, ne réussit plus à mobiliser ses ressources et s'épuise.
- Il ne peut plus faire face aux agressions en raison de leur intensité.
- L'organisme craque, ne réussissant plus à faire face à toutes ces agressions.
- Les réserves psychiques et biologiques sont épuisées.
- C'est au cours de cette phase d'épuisement que peuvent
apparaitre certaines pathologies obligeant l'arrêt de l'emballement
de l'organisme.
jeudi 25 avril 2013
Bonne et mauvaise estime de soi....Good and bad self-esteem...
La promotion de l’estime de soi est à la mode, mais toutes les études ont confirmé qu’elle est contre-productive lorsqu’elle ne vise pas seulement à donner confiance en soi, ce qui est une excellente chose, mais à fabriquer une image déformée de soi-même, comme cela a été le plus souvent le cas aux Etats-Unis notamment.
Le psychologue Roy Baumeister, qui a fait la synthèse la plus complète de toutes les recherches portant sur l’estime de soi, conclut :
« Il est très douteux que quelques bienfaits minimes justifient tous les efforts et les dépenses que les écoles, les parents et les thérapeutes ont investi dans la promotion de l’estime de soi […]. Après toutes ces années, j’ai le regret de dire que ma recommandation est la suivante :
oubliez l’estime de soi et concentrez-vous sur le contrôle de soi et l’auto-discipline. »
De fait, les recherches montrent que favoriser le développement du contrôle de soi permet aux enfants de persévérer dans l’effort, de maintenir le cap dans la durée, et de réussir à l’école, objectifs que poursuivait en vain la pédagogie centrée sur l’estime de soi.
Les étudiants qui ont un meilleur contrôle d’eux-mêmes ont de plus grandes chances de terminer leurs études et risquent moins d’abuser de l’alcool et de drogues ou, pour les jeunes filles, de tomber enceinte pendant l’adolescence.
Il est important cependant de souligner qu’une “bonne” et saine estime de soi est indispensable pour s’épanouir dans l’existence et qu’une dévalorisation maladive de soi peut entraîner des troubles psychologiques graves et de grandes souffrances.
Positive quotes common sense...
Les citations positives du bon sens
Consultez ici et sans modération ces formules intemporelles qui nous aident...
L'être humain est complexe, dixit Sigmund Freud. Paradoxaux, les femmes et les hommes le sont tout autant. Convaincus le plus souvent que le bonheur est en eux, ils oublient curieusement qu'ils possèdent les clés de l'harmonie quand les obstacles de l'existence semblent s'acharner. Des sages, des religieux, des ontologues, des philosophes, oeuvrent depuis la nuit des temps pour apporter à chacun la flamme, la lumière, l'éclairage qui change tout. Lisez, relisez, adaptez leurs paroles de vie. Votre quotidien en sera transformé...
> Vous manquez d'amour ?
Le bonheur c'est le plaisir sans remords.
Socrate.
> Vous ne contrôlez plus vos angoisses ?
Un grand mobile ne rouille pas, une eau courante ne sent pas.
Proverbe chinois.
> Vous n'avez pas d'argent ?
Nous devons être le changement que nous voulons pour le monde.
Mahatma Gandhi.
Nous devons être le changement que nous voulons pour le monde.
Mahatma Gandhi.
> Vous avez du chagrin ?
Ayez de grandes attentes et de grandes choses se produiront.
Art Fettig.
Ayez de grandes attentes et de grandes choses se produiront.
Art Fettig.
> Vous avez perdu confiance en l'autre ?
Une malédiction signifie littéralement « dire du mal ».
Le contraire est une bénédiction, « dire du bien ».
Rose et Gilles Gandy.
Une malédiction signifie littéralement « dire du mal ».
Le contraire est une bénédiction, « dire du bien ».
Rose et Gilles Gandy.
> Vous êtes en deuil ?
Le soir de la vie apporte avec soi sa lampe.
Joseph Joubert.
Le soir de la vie apporte avec soi sa lampe.
Joseph Joubert.
> Vous êtes malade
Seule la lumière ne laisse aucun déchet parce qu’elle est pure.
Omraam Mikhaïl Aïvanhov.
Seule la lumière ne laisse aucun déchet parce qu’elle est pure.
Omraam Mikhaïl Aïvanhov.
vendredi 19 avril 2013
La pensée positive pour s'en sortir...Positive thinking to cope....
Il
est des moments où le moral est au plus bas, où le découragement prend
le pas sur l’enthousiasme.
Penser positif peut être alors d’un grand
secours, non pas pour poser béatement un déni sur les obstacles mais
plutôt pour que ceux-ci, par la magie d’un regard différent, viennent
en quelque sorte alimenter notre persévérance.
Ne rien
lâcher sur son désir est une induction psychanalytique qui s’enracine
dans des siècles de pensée positive. De la philosophie d’Épicure à la
méthode Coué, en passant par la sophrologie, nous pouvons puiser,
chaque fois que nous nous sentons déstabilisés, des trésors d’astuces
pour tenir le coup…
Une possibilité à disposition
S’il y a une chose que personne ne peut nous prendre et qui ne nous abandonnera jamais, c’est bien notre imagination.
Aussi
pouvons-nous choisir de nous laisser passivement envahir par des
pensées négatives ou, au contraire, décider une fois pour toutes que
nous pouvons influer sur la représentation que nous nous faisons d’une
situation.
Le yoga millénaire savait déjà que tout ici-bas possède son
corollaire inversé. Ainsi, quand la défaite se manifeste, c’est bien
que la victoire n’est pas loin. La mort n’existe qu’opposée à la vie.
Dès lors, penser positif c’est choisir définitivement son camp. Il
s’agit d’opter pour l’optimisme, tout en sachant que les limites
existent et que l’imagination est là pour nous aider à les repousser.
L’exemple de personnes emprisonnées pendant des années, tel Nelson
Mandela, nous prouve bien que l’esprit est une possibilité toujours
offerte…
Croire en soi
Pour les croyants, cette attitude de confiance s’appelle la foi. Mais il n’est pas utile d’adhérer à une religion pour bénéficier de cette énergie positive qui peut soulever les montagnes.
Le docteur Joseph Murphy donne une explication très simple de ce
processus dans son étonnant ouvrage « Exploitez la puissance de votre
subconscient » : La loi de la vie est la loi de la croyance. Une
croyance est une pensée entretenue par votre esprit conscient. Ne
croyez pas que quelque chose puisse vous nuire. Croyez en la puissance
de votre subconscient pour vous guérir, vous inspirer, vous fortifier
et pour vous enrichir. Il vous est donné selon votre croyance…
Ainsi,
Christophe Maé, le célèbre chanteur français, lors d’une interview
donnée à Signes & sens magazine, répondait à une question
concernant le découragement, en ces termes : "Je m’en suis sorti
grâce à mon tempérament positif et puis j’ai toujours été conscient que
je pouvais y arriver. J’ai toujours été sûr de moi sans pour cela me
leurrer. Au fond de moi, la certitude de pouvoir y arriver a fait que
je m’en suis donné les moyens. Dès que je pouvais réaliser des
maquettes, je le faisais. J’allais les présenter aux maisons de disques
sans vraiment baisser les bras. Jusqu’au jour de la rencontre. Mais ce
qui m’a le plus réconforté, c’était de croire en moi et de passer à
l’acte en écrivant mes propres textes, sans attendre qu’ils viennent de
quelqu’un d’autre…"
On voit bien que l’attitude positive nécessite
d’avoir foi en soi contre vents et marées. Et cela est à la portée de
tous…
Le secret de la réussite résidant en cette prise de conscience
que les bons passages à l’acte suivent…
Positiver ce qui nous dérange !
Lorsque Claude François essuyait une déception sentimentale, il en faisait un tube.
C’est le cas de « Comme d’habitude », composée à la suite de sa
rupture avec France Gall ou « Le téléphone pleure »…
Jacques Brel
aurait-il écrit « Ne me quitte pas » s’il n’avait pas expérimenté la
douleur de l’abandon ?
La psychanalyse rejoint la pensée positive
lorsqu’elle parle de sublimation.
Sigmund Freud, le maître de cette
discipline, était persuadé que nous avons tous en nous cette
possibilité.
C’est bien le sens de la cure psychanalytique qui consiste, au bout du
compte (ou du conte ?), à faire quelque chose de nos souffrances
conscientes et inconscientes.
Il n’est qu’à lire l’excellent témoignage
de Pierre Rey, dans son ouvrage « Une saison chez Lacan » publié aux
Éditions Points, pour comprendre qu’il n’est question que de positiver
ce qui nous dérange, ce qui reste in fine la seule manière de tenir le coup et de s’en sortir !
François Bardy
Optimisez votre vie !
Optimiser sa vie requiert une déprogrammation de
nos imaginations négatives et autres procès d’intention.
Ce regard
neuf engendrera toujours plus de paroles de paix qui, à leur tour,
seront véhiculées par d’autres que soi. Il s’agit-là d’une forme
positive, superbe impulsion pour aller de l’avant !
Amertume et
rancœurs constituent les fléaux de l’humanité.
Quoi qu’il en soit, ce
nouveau contrat que l’on passe avec soi-même empêche de redouter le
présent et l’avenir. L’épanouissement sert la créativité car
l’optimisme est créateur.
À l’inverse, comme le soulignent les
Écritures Saintes, ce que je redoute m’arrive...
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